Par Gaëtan Vaudry
Originalité, confort, aventure et surprise, voilà bien les mots qui résument ce que vous vivrez lors de votre premier séjour au Domaine Renard à Percé. Ce gampling luxueux qui fait tourner bien des têtes depuis son ouverture, est la propriété de Daniel Boutin et sa conjointe Suzanne Méthot. On parle ici de six dômes géodésiques haut de gamme de sept mètres de diamètre, qui vous en mettront plein la vue.
En entrevue, Daniel nous parle d’un projet d’envergure qu’il cogite dans sa tête depuis quelques années. Après un investissement dans les sept chiffres, le couple originaire de Montréal nous offre de magnifiques dômes, tous munis d’une cuisine et d’une salle de bain, d’une mezzanine avec lit queen et d’un sofa-lit dans l’air de vie, le pouvant convenir pour un maximum de quatre personnes.
Pour le repos ou la création
J’ai eu la chance de séjourner deux jours dans le fameux dôme numéro 4, qui offre une vue imprenable et panoramique sur l’île Bonaventure et le Cap d’Espoir avec - et je tiens à la mentionner car ce n’est pas le cas partout - un wifi à haut débit Internet. Les cuisines que nous offrent les dômes sont grandement équipées et proposent même un excellent café torréfié localement. Un geste apprécié de part de nos hôtes.
« Nous avons travaillé fort pour que nos dômes conviennent à plusieurs styles de visiteurs », nous explique Daniel, qui provient du domaine de la techno et de l’intelligence artificielle. « C’est l’endroit idéal pour un séjour en amoureux ou encore avec la petite famille. Je sais aussi que plusieurs artistes aiment y débarquer, afin d’écrire quelques pages de leur livre ou terminer un processus de création, dans ces beaux espaces de vie immergé en pleine nature. »
Comme des VIP
Daniel et Suzanne sont de ceux qui souhaitent offrir un nouveau souffle à Percé sur quatre saisons : « Ça commence à bouger l’hiver et nous en sommes très fiers! », s’exclame celui qui a lui-même dessiné les plans et a construit ce magnifique domaine. « Il y a de plus en plus d’endroits qui restent ouverts à l’année et qui croient comme nous que Percé pourrait être une destination de choix, même en hiver. Il y en a pour tous les goûts, de ceux et celles qui souhaitent se reposer dans un environnement enchanteur, à ceux et celles qui aiment jouer dehors. La motoneige et le ski de randonnée sont particulièrement populaires de janvier à mars. C’est à bien y penser car en hiver, les visiteurs à Percé sont comme des VIP dans tous les établissements. »
C’était ma toute première expérience dans ce genre de dôme et j’en ressors plus que ravie. Je vous suggère l’expérience, à n’importe quel moment de l’année, surtout que les dômes du Domaine Renard sont tous climatisés. De plus, profitez de la promotion de 30 % de rabais que propose leur site Internet, du 5 au 24 janvier 2024. Il y a même des forfaits disponibles incluant souper gastronomique et déjeuner livré à votre dôme, provenant du restaurant Maison Black Whale, une autre table réputée de Percé.
Domaine Renard
425, route d’Irlande
Percé (Québec)
418 782-4560
[email protected]
domainerenard.ca
Par Gaëtan Vaudry
Si vous habitez près de La Pocatière, municipalité régionale de comté de Kamouraska dans le Bas-St-Laurent, impossible de ne pas avoir entendu parler du Le Martinet. Car avant d’être le sympathique motel que nous connaissons aujourd’hui, le légendaire restaurant Au Martinet y a fait la pluie et le beau temps à la confluence des routes 132 et 230, dans les années 50 et 60 : « Ça a swigné ici! », nous lance l’actuelle propriétaire Marie-Claude Lavoie, dans un grand éclat de rire. « Au Martinet était LE restaurant vedette de toute la région, avant l’incendie qui le ravagea, le 17 février 1975. »
Madame Lavoie est propriétaire de l’établissement qui soulignera son 75ième anniversaire en 2025 depuis 11 ans. Femme d’affaires déterminée, elle se donne corps et âme pour faire de son motel, le lieu de prédilection pour plusieurs visiteurs, travailleurs de la région et une clientèle d’affaires qui ne jurent que par cet endroit. C’est pour cette raison que l’hôtelière a pris la décision de rénover la grande salle où elle sert le déjeuner, afin de proposer une véritable salle multimédia : « La demande était là », précise-t-elle. « Le matin nous y servons toujours nos très populaires petits-déjeuners et ensuite, les salles servent pour des conférences, des ateliers, des cours, des déjeuners causeries et bien plus. » Il faut dire que cette salle lumineuse, lancée le 15 juin 2023 est multifonctionnelle et attire une vaste clientèle.
Pénurie de main-d'œuvre
Le motel Le Martinet propose 22 unités, dont 19 chambres avec un ou deux lits, une suite familiale, de même que deux lofts que j’ai trouvé particulièrement intéressants, avec une cuisinette, un coin pour casser la croûte, un petit salon et un espace travail : « Nous en avons pour tous les goûts », souligne Madame Lavoie. « Nous aimons les gens et nous souhaitons leur offrir le meilleur, selon leurs besoins. C’est notre mission. »
Pour y parvenir, Madame Lavoie doit y investir un très grand nombre d’heures par semaine. Elle ne compte d’ailleurs plus le temps qu’elle passe dans son établissement, elle qui confirme devoir concilier avec la pénurie de main-d'œuvre qui sévit dans toute l’industrie hôtelière : « On n’y échappe malheureusement pas », nous confie-t-elle. « Mais je reste confiante. Je forme régulièrement du nouveau personnel et en équipe, nous livrons la marchandise. »
Le charme de La Pocatière
Si vous passez dans le coin, n’hésitez surtout pas à rendre visite à Madame Lavoie et son équipe du motel Le Martinet. Vous ne serez certes pas déçu. Même que si j’étais vous, je forcerais un brin la note pour passer dans le coin. J’ai grandement aimé le charme de La Pocatière, de son impressionnant CÉGEP à sa petite rue principale fort chaleureuse !
Motel Le Martinet
120, route 230 Ouest
La Pocatière (Québec)
418 551-4913
[email protected]
lemartinet.ca
Par Gaëtan Vaudry
L’Hôtel Sept-Îles, qui se veut également un centre des congrès, est un immense complexe offrant 78 chambres et suites rénovées, qui proposent une magnifique vue sur la mer et la marina. Elle dispose d’une salle de sport, d’un service de buanderie sur place, de même que cinq salles pour vos réunions d’affaires et vos soirées de bureau.
Ceux et celles qui connaissent bien l’Hôtel Sept-Îles savent également que l’établissement abrite également deux belles opportunités pour les voyageurs et les résidents locaux : le chic Spa Renaissance, de même que le Bistro 7 qui se fait un devoir de mettre à l’avant les produits locaux.
Des activités 12 mois par année
Lors de ma visite au début du mois de décembre dernier, j’ai été agréablement surpris par la courtoisie et le professionnalisme des employés de l’Hôtel Sept-Îles : « Cette façon de faire est très importante pour nous », nous explique l'un des propriétaires Yves Bourassa : « Nous souhaitons offrir une belle expérience à nos clients. Nous sommes présents pour les conseiller sur les bons restaurants qui entourent l’hôtel, mais aussi pour leur suggérer des activités douze mois par année. »
L’hiver, les randonneurs et les skieurs de randonnée sont à l’honneur, alors que l’été les nombreux visiteurs peuvent profiter de la promenade au bord de la mer, à même la Promenade du Vieux-Quai, ainsi que se baigner via une très sympathique plage.
Outre l’expérience Bistro 7, j’ai eu la chance de casser la croûte à la Microbrasserie & Resto-Pub La Compagnie, située à quelques pas de l’Hôtel Sept-Îles. L’endroit idéal pour se retrouver entre amis, rire un coup, déguster ce qu’ils appellent un ‘’snack réconfortant’’ (j’y ai consommé un délicieux club sandwich Compagnie style), de même qu’une bonne bière artisanale (dans mon cas l’excellente Blanche des Forges).
Hôtel Sept-Îles
451, avenue Arnaud
Sept-Îles (Québec)
418 962-2581
[email protected]
Voir la page Facebook de l’Hôtel Sept-Îles
Par Gaëtan Vaudry
Inutile de vous dire que j’ai eu un véritable coup de foudre pour la Maison Gagnon de Chicoutimi. Située à quelques pas du centre-ville, cette paisible demeure, entièrement décorée dans une ambiance vintage des années 60, ne vous offre rien de moins que cinq chambres à coucher!
Vous y trouverez toutes les commodités de votre résidence, du frigo à la cuisinière, en passant la laveuse et la sécheuse, un téléviseur à écran plat au salon, un wifi rapide et efficace (poste de chargement à téléphone mobile et prises USB dans chaque chambre), de même que quelques places de stationnements. Le rez-de-chaussée propose également une grande salle à manger, une chambre avec lit queen, de même qu’une salle de bain complète. Le deuxième étage propose quatre chambres et une sympathique salle d’eau. À la Maison Gagnon, vous pourrez loger confortablement dix personnes.
Amoureux de l’hiver et l’été
Géographiquement, la Maison Gagnon (propriété du groupe Hébergements Saguenay) est située à moins de 10 minutes à pied de la cathédrale Saint-François-Xavier de Chicoutimi, à quelques pas de la Zone portuaire. Le Parc marin du Saguenay–Saint-Laurent est situé à seulement 600 mètres de la Maison Gagnon, alors que le musée de la Petite Maison Blanche (symbole emblématique du déluge qui frappa la ville de Saguenay en 1996) est situé juste à seulement une vingtaine de minutes de marche.
Ce n’est pas les activités qui manquent en hiver dans cette belle région du Saguenay-Lac-Saint-Jean : motoneige, raquette, ski de fond, ski alpin, traineaux à chien, patinage sur glace, glissade en tube et pêche blanche feront le bonheur des amoureux de la neige. L’été n’est certes pas en reste avec de magnifiques plages publiques (le Rigolet et le Parc National de la Pointe-Taillon), les croisières Fjord et monde, le Véloroute du Fjord du Saguenay (qui s’étend sur plus de 400 kilomètres), le magnifique Club de golf de Chicoutimi, Baie en kayak qui vous propose d’explorer la Baie des Ha! Ha! en kayak de mer, plusieurs centres de vélo de montagne et j’en passe !
La Maison Gagnon
397, ruelle Gaudreault
Chicoutimi (Québec)
418 818-2646
[email protected]
residencetouristiquesaguenay.com
Par Gaëtan Vaudry
C’est toujours intéressant, voire intrigant, de visiter un établissement qui existe depuis 1952. D’abord connue sous le nom l’Hôtel Le Retour (par un certain Maurille Guité), l’actuelle Auberge du Marchand continue de séduire les amateurs qui s’arrêtent au bord de l’eau de la municipalité de Maria, en Gaspésie.
En 1979, Claude Loubert achète l’établissement et le transforme en résidence pour personnes âgées. Il faudra cependant attendre l’an 2000 pour que l’entreprise retrouve sa vocation hôtelière. Une décennie plus tard, les hommes d’affaires Christian Bernard et Jérôme Pichette se portent acquéreurs de l’établissement et y apportent d’imposantes rénovations dans les années qui suivent, alors que le nouvel Auberge du Marchand s’offre un restaurant de 49 places, l’agrandissement de sa superbe terrasse et l’ajout de deux membres importants : la directrice générale Kathleen St-Onge et le chef cuisinier Mathieu Kelly.
Mettre en valeur les produits locaux
C’est justement Madame St-Onge qui m’offrira une visite guidée de l’Auberge, qui compte aujourd’hui 14 chambres, deux studios, deux appartements 4 ½ de luxe, de même qu’une maison. Le tout agrémenté d’une plage au bord de la mer, avec jeux pour enfants. Lors de ma visite, l’immense cuisine commune du deuxième étage retient mon attention : « Je sais qu’ils sont rares les établissements qui offrent à la fois un restaurant, de même qu’une cuisine communautaire, entièrement équipée », souligne fièrement la principale intéressée. « Les travailleurs qui doivent partir très tôt le matin, de même que certaines petites familles apprécient grandement ce service. Pour nous, la cuisine communautaire offre une plus-value de choix à notre précieuse clientèle. »
Selon les dires de plusieurs, le restaurant de l’Auberge du Marchand offre une excellente table, du mercredi au dimanche « Le chef nous prépare d’excellentes spécialités », ajoute Madame St-Onge. « Je pense particulièrement à l’agneau, de même qu’aux poissons et fruits de mer gaspésiens. » Les produits du terroir sont mis en valeur au restaurant, de même qu’à l’épicerie fine de l’établissement (qui était en transformation lors de ma visite) et qui se fait un devoir d’offrir de succulents produits locaux de la gamme Gaspésie Gourmande, de même que plusieurs coups de cœur du Québec et de partout dans le monde.
Quoi faire en hiver
Pour ma part, j’ai eu la chance de séjourner dans l’un des deux luxueux appartements. Mon espace, avec vue sur la mer, offrait deux chambres agréablement confortables, un salon, un espace travail, de même qu’une cuisine complète. Que demander de mieux ? L’Auberge du Marchand est sans aucun doute un endroit où il fait bon vivre en bordure de la baie des Chaleurs. En hiver, les mois de janvier à mars attirent de nombreux amateurs de motoneige, alors que le sentier Trans-Québec5 traverse la municipalité. Les amateurs de ski de fond ne sont pas en reste, alors que le centre de ski de fond de Maria offre des sentiers pour le ski et la raquette, dans un décor enchanteur. Il ne faudrait certes pas oublier les excursions en traîneau à chiens et le ski de montagne de Maria!
En été, la longue plage municipale saura vous séduire, en plus de voir les randonneurs et les cyclistes s’émerveiller devant la vue spectaculaire du belvédère des sentiers pédestres en montagne et par la Route verte qui longe la mer.
L’Auberge du Marchand
530, boul. Perron
Maria (Québec)
1 888 959-3766
[email protected]
aubergedumarchand.com
Par Gaëtan Vaudry
Dans une tournée de 40 jours dans l’Est du Québec et au Nouveau-Brunswick, nous en visitons des endroits et nous en côtoyons des gens! Certains endroits retiennent notre attention et c’est le cas du gîte LaRichardière, situé dans la municipalité de village de Godbout sur la Côte-Nord, dont la population n’est que 262 habitants, selon le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.
Je dois vous dire d’entrée que l’endroit est tout simplement magnifique. Et que dire de nos hôtes, Claude-Joseph Gosselin et de son superbe chien Body (croisement entre danois et un labrador), qui nous reçoivent comme des princes! Nous arrivons le mercredi soir, après une bonne journée de route. Nous sommes accueillis dans une superbe maison datant de 1928, chaleureuse et décorée avec goût. Il faut dire que Claude-Joseph, qui a lui-même beaucoup voyagé, a personnalisé son style d’accueil. Fière de le dire, il n’en fait pas trop. Juste assez. Et c’est ce que les invités – moi le premier – apprécient de lui.
Quatre artistes de la région
J’aimerais débuter en vous parlant de l’histoire de cette maison quasi centenaire. Pourquoi se nomme-t-elle LaRichardière ? Pour rendre hommage à deux personnes importantes aux yeux de Claude-Joseph. La première est le noble Richard Testu de la Richardière (1681-1741), capitaine de flûte et de port, maître-pilote dans le fleuve et le golfe du Saint-Laurent. Mais aussi pour Mathieu Richard, un ouvrier qui vécut dans cette magnifique résidence avec sa famille pendant plus de 40 ans. On y retrouve quatre chambres à coucher, toutes nommées en l’honneur d’un artiste de la région. Il y a d’abord la chambre Gilles Vigneault (célèbre poète de Natashquan), la chambre Éric Maillet (sculpteur et forgeron, Bergeronnais d’adoption), la chambre Claude Le Sauteur (artiste peintre 1926-2007) et enfin, la chambre Francine Chicoine (auteure de Baie-Comeau). Fait notable, le lit de la chambre Éric Maillet a été réalisé sur mesure par l’artiste lui-même (voir la photo). Une véritable œuvre d’art unique! « Je voulais honorer des artistes de la région », souligne fièrement le propriétaire de l’endroit. « J’ai obtenu les autorisations et je me donne depuis comme mission de faire découvrir leur talent à plusieurs de nos clients. »
Nous pourrions presque dire que le gîte LaRichardière s’avère un mini musée. On y retrouve plusieurs œuvres d’art, une multitude de livres sur l’histoire de la région, de même qu’un hôte passionné, qui m’a gentiment fait découvrir l’œuvre de l’artiste peintre Claude Le Sauteur. Vraiment très enrichissant.
Un délice pour les papilles gustatives
Claude-Joseph, qui habite Godbout depuis trois décennies, gère ce gîte avec passion. Issu du milieu de l’hôtellerie, il s’occupe de la gestion, de l’animation, de la cuisine et même de l’entretien ménager. Parlant de nourriture, sachez que notre hôte sait y faire! Au petit-déjeuner, il nous propose d’entrée un jus d’orange, suivi d’une magnifique coupe de fruits frais, qui s’avère exquise pour les papilles gustatives. On termine le tout avec un excellent pain doré, servi avec une confiture aux framboises maison et bien sûr, avec du succulent sirop d’érable de chez nous. Que demander de mieux ?
Je ne peux dire que bravo et merci à Claude-Joseph pour ces 24 heures mémorables. J’aurais volontiers accepté un séjour prolongé, question d’en découvrir davantage sur cette charmante petite région sur la mer et aussi pour m’amuser avec ce charmant Body, gros toutou de 90 livres calme et chaleureux. Ce n’est que partie remise!
Gîte LaRichardière
109, rue St-Régis
Godbout (Québec)
418 568-7446
Visiter la page Facebook de LaRichardière
Par Gaëtan Vaudry
Si je vous dis le mot « glamping », ça vous dit quelque chose ? Il s’agit de la contraction des mots glamour et camping, qui propose de l'hébergement écoresponsable en immersion avec la nature, tout en y alliant le luxe et les commodités d'une chambre d'hôtel. Et c’est exactement ce qu’offrent nos amis d’Exode en nature de Sainte-Rose-du-Nord, municipalité située sur la rive nord du fjord du Saguenay.
À mon arrivée sur le site, je suis accueilli par le charmant Vincent Fréchette, l’un des quatre actionnaires de l’endroit et qui s’est avéré un guide étonnamment professionnel et passionné. Le jeune homme commence par me raconter la petite histoire qui a inspiré le nom de cette belle aventure. Selon la légende, Exode était le nom du voilier des premiers actionnaires Vicky Maltais et Patrick Prévost, lors de leur incroyable aventure aux Bahamas. À l’été 2020, Exode a été volé dans les Bahamas et le couple a voulu conserver ce magnifique souvenir en donnant le même nom à leur futur centre d’hébergements insolites.
Le calme d’un séjour en pleine nature
Exode en Nature offre cinq résidences fort originales et bien différentes, décorées avec goût et tissant des liens avec leur expérience dans la mer des Caraïbes, avec des filets de catamaran. Situé sur un site enchanteur de 8,5 acres au bord de la rivière Pelletier, au pied des Monts-Valin, on y retrouve les chalets La Mélilot et La Baumier, de même que la Yourte Myrica et le Dôme La Thuya, de même que la maisonnette Pod Le Sumac. Les cinq établissements peuvent accueillir confortablement de deux à quatre adultes (il est possible d'accueillir jusqu'à six personnes avec un sofa-lit) et offrent les commodités d’usage, dont une douche, la literie, la vaisselle, le wi-fi et un poêle au gaz propane. Il ne faudrait pas oublier les espaces extérieurs réservés à la détente près du cours d’eau, dont le ruissellement ajoute au calme d’un séjour en pleine nature, avec en plus des foyers extérieurs et des spas nordiques chauffés au bois!
Fait intéressant, les propriétaires d’Exode en nature acceptent avec plaisir les animaux domestiques en laisse : « Nous souhaitons que les gens viennent vivre une aventure mémorable au cœur de la nature », souligne généreusement la copropriétaire Vicky Maltais. « Les animaux de moins de 50 livres sont les bienvenus, car nous savons à quel point plusieurs de nos clients souhaitent venir se ressourcer, accompagnés de leurs animaux de compagnie. » Et parlant de ressourcement, Exode en nature est l’endroit idéal pour une escapade en amoureux, ou encore un week-end en famille ou entre amis.
Des activités pour tous les goûts
Les amateurs d’activités et d’aventures ne seront pas en reste chez Exode en nature. En hiver, dans un rayon de quelques kilomètres, il vous sera possible de faire de la motoneige, du ski alpin, du ski de fond, du patin, du traineau à chien, de la glissade et même de la pêche blanche. Prenez note que tous les hébergements d’Exode en nature vous offrent gratuitement des raquettes, question de vous évader en pleine nature. En été, la liste des activités s’allongent avec la pêche, qui peut y être pratiquée dans près de 650 lacs, la chasse, le kayak, le canot, le vélo de montagne, la plage, le golf et bien sûr, la randonnée pédestre.
Exode en nature, c’est le travail acharné des quatre membres de cette magnifique famille grandement accueillante - Gabrielle Prévost, conjointe de Vincent, complète le quatuor - qui ne souhaite qu’une seule chose : vous offrir un séjour à la hauteur de vos attentes.
Exode en nature
1516, Route de Tadoussac
Sainte-Rose-du-Nord
418 540-1455
exodeennature.com
Par Gaëtan Vaudry
Si vous passez dans le coin de Sept-Îles et que vous souhaitez un moment de détente hors du commun, il faut vous arrêter au Spa Renaissance, site privilégié vous offrant une immense terrasse avec une vue imprenable sur l'eau et les plus beaux couchers de soleil.
Ce centre de relaxation propose de nombreux forfaits à sa clientèle, du médico-esthétique à la remise en forme, en passant par la détente, l’esthétique, le bien-être et bien plus. Ce qui démarque le Spa Renaissance de ses compétiteurs, c’est que les couples peuvent venir y obtenir des soins simultanément, en profitant de forfaits fort avantageux : « Nous offrons effectivement plusieurs possibilités de forfaits que vous recevrez côte à côte », lance fièrement le propriétaire Martin Carrier. « Vous pourrez choisir parmi plusieurs soins : pédicure, manucure, facial, massage, hydrothérapie, neuro spa secteur thermal et bien plus ! »
Une autre particularité du Spa Renaissance situé dans le populaire Hôtel Sept-Îles, sont les forfaits sur mesure, qui comprennent bien souvent une variété de soins, une carte cadeau pour le Bistro, ainsi qu'une nuitée à l’hôtel. Le Spa Renaissance propose également deux salles d'entrainement bien équipées, qui font la joie des nombreux clients. Un forfait qui retient mon attention, est le Thermal Plus qui pour 316 $, vous donne droit à deux accès de trois heures au secteur de thermothérapie, une carte cadeau de 50 $ au Bistro, de même qu’une nuitée en occupation double à l’hôtel. Vraiment fort intéressant ! De plus, je vous suggère de vous informer sur les forfaits Tropique et Havane, qui sont disponibles jusqu’au 24 décembre prochain et qui se glissent très bien dans une carte de Noël, afin d’offrir à vos proches un moment privilégié.
Spa Renaissance
451, avenue Arnaud, Sept-Îles
418 968-0606
sparenaissance.ca
Par Gaëtan Vaudry
À l’annonce de ma visite au Saguenay-Lac-Saint-Jean, les plus érudits m’ont rapidement dressé une liste des meilleures tables à ne pas manquer dans la région. Parmi celles-ci figurait la table du restaurant O'Batillage, qui propose une fine cuisine du terroir à même l'Auberge des Battures de ville de La Baie. Le chef Étienne Trottier s’assure d’un approvisionnement local qui nous fait découvrir le meilleur de la forêt boréale et des producteurs régionaux. Même si nous étions dans la basse saison du mois de novembre, l’équipe du O'Batillage nous a drôlement bien accueillis. Pour ma part, j’ai eu droit à un repas trois services, comprenant le saumon fumé de la Boucanerie d’Henri en entrée. Outre ce saumon de la meilleure boucanerie au Québec, à mon humble avis, le plat comprenait un coulis de Frambleu (du Domaine Le Cageot), concombres, huile de lin (de la Ferme Tournevent), câpres, framboises et riz sauvage soufflé. Une entrée incontournable !
Pour le plat principal, j’ai opté pour les pâtes aux fruits de mer qui proposaient des tagliolinis frais (La Prod LP) sauce Mornay, crevettes de Matane, moules de l'Île-du-Prince-Édouard, pétoncles des Iles-de-la-Madeleine, poisson blanc et laitue de mer. Une généreuse portion pouvant rassasier les bonnes fourchettes. On garde bien évidemment une place pour le dessert, me laissant tenter par une excellente crème brûlée. Je ne pouvais mieux choisir !
Faire l'expérience du restaurant de l'Auberge des Battures en est certes une fort positive pour les papilles, mais elle l'est tout autant pour les yeux. Tout au long de mon copieux repas, l'établissement dirigé par Monsieur Éric Civel m'offre une vue imprenable sur le Fjord du Saguenay. De quoi réjouir tous vos sens.
Restaurant O'Batillage / Auberge des Battures
6295, boulevard de la grande Baie Sud Saguenay, arrondissement La Baie
418 544-8234
https://obatillage.com
Par Gaëtan Vaudry
Selon les dires de sa responsable de l'hébergement Marie Lerdu, le projet de restaurer ce motel des années 1960 était un peu fou. Malgré tout, cette initiative porte aujourd’hui ses fruits puisque l’Auberge Camp de Base, située à l’entrée de L’Anse Saint-Jean, au milieu de la vallée du Bas Saguenay, est rapidement devenue un véritable lieu de vie du village.
En plus d’opérer adéquatement le volet hébergement de l’établissement (9 chambres, un dortoir, une cuisine commune et plusieurs espaces de camping), l’équipe de l’Auberge Camp de Base propose également un resto-bar mettant en valeur les produits locaux, ainsi que des viandes et poissons fumés sur place. Après quelques semaines de repos, l’équipe du resto-bar est de retour pour la saison hivernale qui s’annonce haute en couleur. Au menu, une expérience touristique complète dans le secteur du Bas-Saguenay, en partenariat avec le Mont-Édouard, Entre Chien et Loups et Saguenay Aventures. Offrez-vous l’un des forfaits excursions pouvant vous lier à 40 chiens malamutes au cœur des montagnes du Fjord-du-Saguenay, ou encore d’incontournables journées de ski alpin, de raquettes, de Fatbike et de ski de fond.
Au retour à l’Auberge Camp de Base, vous pourrez vous détendre et vivre une expérience gustative unique, l’établissement étant certifié ambassadeur de saveurs par Zone Boréale, attachant une grande importance à l'origine de ses produits locaux ou régionaux : « Bien que l’endroit attire un grand nombre de touristes tout au long de l’année, nous avons la réputation d’être un lieu de rassemblement social pour les habitants du village », nous confie Marie Lerdu. « Le mélange des touristes et de nos résidents crée des soirées fort chaleureuses. C’est pour cette raison que nous venons tout juste d’apporter quelques rénovations, qui nous permettront d’offrir plusieurs soirées thématiques à notre clientèle. » Au cours des prochains mois, l’Auberge Camp de Base proposera des vernissages, des spectacles de chanson, de l’improvisation et même des soirées jeux de société.
Opérationnel du jeudi au samedi dès 16h, le resto-bar de l’Auberge Camp de Base vous convie à son party du temps des Fêtes qui sera présenté le samedi 16 décembre prochain, dès 18 heures. La formation Les Quêteux du Lac-St-Jean y proposera de traditionnelles chansons à répondre, accompagnée par le calleur d’expérience Ghislain Jutras. Les billets au coût de 18 $ sont disponibles sur place. La programmation des prochaines soirées sera disponible via la page Facebook officielle de l’auberge : https://facebook.com/aubergelecampdebase.
De plus, la direction de l’Auberge Camp de Base se dit bien heureuse de participer à titre d’exposant officiel du Marché de Noël Européen de Saguenay, présenté du 30 novembre au 3 décembre et du 7 au 10 décembre, à la Place du Citoyen de Chicoutimi. Sur place, plus de 32 exposants, du vin chaud et des centaines d’idées cadeaux, dans un décor enchanteur et féérique de Noël.
Auberge Camp de Base
5, rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean
https://aubergecampdebase.com