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La région de Portneuf peut compter sur un nouvel établissement hôtelier depuis avril 2022. Le projet d’un groupe de cinq investisseurs a finalement abouti après avoir été ralenti par la pandémie des dernières années. Le groupe a fait l’achat de l’auberge du Couvent de Saint-Casimir pour la transformer en hôtel. On peut dorénavant aller séjourner à l’hôtel « Le Couvent ».

 
Utilisé comme pensionnat pendant plusieurs décennies, puis en auberge un peu plus tard, l’immeuble a subi depuis une série de travaux de préparation en vue de son ouverture officielle.

Couvent de Saint-Casimir Couvent de Saint-Casimir
En plein cœur du village de Saint-Casimir, l’Hôtel le Couvent est situé dans l’ancien couvent des Sœurs de la Providence, construit en 1890 en tant qu’institution d’enseignement. Entre montagnes et rivières, la municipalité de Saint-Casimir est un lieu de villégiature champêtre pour découvrir un bâtiment patrimonial et des paysages évocateurs typiques du monde rural de la région de Québec ou de la campagne d'antan québécoise.

 
Le président du groupe, Maxime Trudel, explique la vision à long terme des investisseurs. « Les projets sont multiples. On parle de relais pour les motoneiges et les VTT avec enclos sécuritaires, ce qui est littéralement absent dans la région. Il est donc question de développer les infrastructures nécessaires à ce que l’hôtel puisse devenir aussi le relais motoneiges tant souhaité dans la région. La réouverture du restaurant-bar se fera par un concessionnaire et om fera l’installation de machines distributrices pour la clientèle des chambres. Il est aussi question d’une collaboration avec des partenaires régionaux, comme une microbrasserie et un traiteur. On projette également de présenter des spectacles en collaboration avec la brasserie artisanale, qui donne déjà dans ce genre d‘événements.

Couvent de Saint-Casimir
En plus de loger deux salles de réception, l’hôtel offre 35 chambres de qualité. Toutefois, l’hôtel n’a pas l’intention de se lancer dans l’organisation de mariages ou d’autres types de réceptions. On mettra les salles et le terrain adjacent à la disposition des gens, mais ils devront s’occuper du reste. Notons enfin que l’hôtel est déjà associé avec la route verte. Les cyclistes vont pouvoir profiter d’une salle pour entrer et sécuriser leur vélo et, eux aussi, jouir des lieux.


Enfin, notons la préoccupation des investisseurs et des gestionnaires pour le maintien du patrimoine de l’établissement. « Il y a un héritage ici et les gens aiment ce patrimoine de l’établissement et on veut conserver cet héritage pour Saint-Casimir », reconnait Maxime Trudel. « C’est une priorité pour nous. On a rencontré la fondation ici à Saint-Casimir pour accrocher des photos et intégrer d’autres éléments de ce patrimoine. À ce titre, on est à l’ébauche d’un petit musée-boutique, à l’avant de l’hôtel, qui s’inscrira justement dans cet effort de conservation patrimoniale », conclut-il.

Couvent de Saint-Casimir
Depuis l’ouverture en avril 2022, on a constaté un engouement pour l’endroit. Les réservations pour les mois à venir le démontrent clairement.


Enfin, à l’été 2023, une municipalité voisine, Saint-Thuribe, célébrera son 125e anniversaire avec une exposition gratuite dédiée au peintre Jean-Paul Riopelle, dans l’église du village, du 21 juin au 3 septembre. L’hôtel Le Couvent agira comme hôtel officiel de l’événement.

Hôtel Le Couvent
lecouvent.ca
370, boulevard de la Montagne
Saint-Casimir, Qc G0A 3L0
418 339-3232

Faisant partie du paysage de Saint-Félicien depuis 1989, l’Hôtel du Jardin constitue un lieu de séjour qui promet une variété de services de qualité hautement appréciés. Ses propriétaires depuis 2004, la famille Beaubien, qui possède d’autres établissements hôteliers dans la région et ailleurs au Québec, le présentent comme un hôtel 4 étoiles offrant le confort d’un grand établissement et le service chaleureux d’une auberge.

Hotel le Jardin
On y compte 85 chambres. L’hôtel loge un centre des congrès de 8 salles pouvant accueillir 10 à 500 personnes. On peut y pratiquer la natation à la piscine intérieure ou encore visiter le spa. Une salle de conditionnement physique est accessible pour les clients séjournant à l’hôtel. L’Internet haute vitesse sans fil est disponible gratuitement partout dans l’établissement.

Hotel le Jardin Hotel le Jardin
De plus, le restaurant Le Baumier dont la renommée dépasse les seules limites régionales, propose une table remarquable dans un décor charmant et convivial. Les deux chefs cuisiniers Patrick Fournier et Sébastien Simard vous proposent des mets avant-gardistes, inspirés des saveurs nordiques. On peut y découvrir des plats savoureux, déclinés au gré des saisons. Tout est concocté sur place, avec passion, afin d’offrir une qualité et une fraîcheur qui honoreront les produits régionaux. Ce couple de cuisiniers s’est mérité plusieurs prix et sont reconnus comme Ambassadeurs de la Zone Boréale pour leur promotion des produits du terroir régional.

Hotel le Jardin
La directrice des ventes, Lili Fournier, qui est à l’emploi de l’hôtel depuis 2000, explique que l’hôtel applique une politique d’inclusivité dans toutes ses activités, à commencer par les ressources humaines. On trouve parmi la quarantaine d’emplois plusieurs personnes provenant de l’étranger et ayant suivi une formation en techniques de tourisme au Cégep de Saint-Félicien. Les étudiants immigrants y sont d’ailleurs en majorité. Dans un contexte de rareté des ressources, c’est la compétence et le potentiel des individus qui constituent les premiers éléments d’embauche, avant toute autre considération.


L’hôtel a également la particularité d’être situé à un carrefour important sur le plan régional. Saint-Félicien constitue la dernière étape avant d’entreprendre la route vers Chibougamau, à 250 km plus au nord. En hiver, les motoneigistes y trouvent refuge après de longs parcours sur les pistes des circuits inter-régionaux. Durant la belle saison, les touristes sont heureux d’y séjourner lors de leur visite au Zoo sauvage de Saint-Félicien situé à proximité. La véloroute des Bleuets y amène aussi son lot de clients.

Hotel le Jardin
Ce ne sont donc pas les attraits touristiques qui manquent dans la région de Saint-Félicien. On y trouve de nombreuses activités toute l’année pour tous les types de clientèles. Toutefois, la clientèle corporative constitue plus de la moitié de l’achalandage, principalement en raison des importantes facilités pour les congrès, les réunions d’affaires et les célébrations diverses. Les familles sont également traitées aux petits soins : les enfants peuvent profiter de jeux extérieurs dans la cour arrière de l’hôtel, en plus de la piscine et de la proximité de nombreux attraits qui leur plairont.


Les propriétaires de l’hôtel s’assurent de maintenir un niveau de qualité dans ses installations et gèrent un programme de rénovations en continuité dans leur établissement.

Hotel le Jardin
Le Groupe Beaubien est propriétaire de plusieurs autres hôtels dans la région et au Québec, dont à La Malbaie dans Charlevoix, à Nicolet, et dans le Vieux-Québec. Il est partenaire dans d’autres établissements à Roberval, à Québec et à Drummondville. La famille Beaubien a fondé la fondation AME, qui encore aujourd’hui accueille des parents et des proches d’enfants malades gratuitement dans les hôtels du Groupe Beaubien.

Hôtel du Jardin
hoteldujardin.com
1400, boul. du Jardin
Saint-Félicien, QC G8K 2N8
418 679-8422

Le bâtiment abritant les équipements de production et la boutique depuis 2012 est en lui-même une splendeur. Tout de bois et de verre, laissant pénétrer la lumière par de grandes vitrines et mettant en vedette la diversité de produits par des étalages rigoureusement installés, le tout autour d’un grand comptoir circulaire, on y ressent déjà la qualité et la passion des concepteurs dès l’entrée.


Le président de l’entreprise, fils du fondateur, Pierre-Philippe Tremblay, est fier de ce que sa famille a créé et développé. Un peu comme Obélix dans la potion magique, il est tombé dedans quand il était petit. Son père, Donald, un professeur de carrière, voulait au départ, en 1977, cultiver un jardin sur le vaste terrain de 400 acres qu’il avait acquis. Après défrichage, drainage et labour, on s’est dit que ce grand espace invitait à faire le choix d’une culture. À la suite de discussions familiales, le choix s’est arrêté sur la culture d’un petit fruit de luxe, la framboise. Trois ans plus tard, la framboisière Le Cageot était née.

Cageot

Ainsi, le Domaine Le Cageot cultive des petits fruits depuis plus de 20 ans, mettant en vedette aujourd’hui les savoureux bleuets sauvages, les framboises et le cassis. Comme si cela ne suffisait pas, au début des années 2000, on a ajouté des vignes pour l’implantation d’un vignoble artisanal. « Un vignoble dont le raisin est unique, non répertorié, un cépage indigène autochtone qu’on appelle le Saint-André », explique fièrement Pierre-Philippe.


En 2002, l’entreprise familiale en plein essor procède à l’implantation du 1er centre régional de production artisanale de boissons alcoolisées à base de petits fruits avec un vin, deux apéritifs et une liqueur. On ajoute également 13 produits de transformations agroalimentaires : 3 vinaigrettes de vin, 3 confitures, 3 gelées, 1 miel et 3 lies. Il faudra attendre en 2013, pour que la première cuvée de vins soit embouteillée et distribuée : le Père & Fils rouge et le Père & Fils blanc. Le Domaine le Cageot est devenu depuis le plus grand vignoble régional au Lac Saint-Jean.


En 2018, un transfert d’entreprise entre le père et le fils se met en branle et de nouveaux actionnaires s’ajoutent à l’équipe, pour faire place, à un projet de croissance d’envergure. En 2019-2020 seulement, ce sont près de 3,5 M$ qui y ont été investis, notamment dans des équipements de pointe pour la microdistillerie.

 Cageot
Le Cageot a lancé un premier vin mousseux de bleuets sauvages, au Québec et même au monde. De plus, après une décennie à créer son propre cépage, on a mis en terre 8 000 plants de vigne devenant ainsi le 1er vignoble reconnu par la RACJ (Régie des alcools, des courses et des jeux du Québec) au Saguenay–Lac-St-Jean.


En boutique, et sur le site Web pour des commandes en ligne, on retrouve une diversité de produits : alcools et vins, vinaigrettes, gelées et confitures, sirops, tartinades, prêt-à-boire, ainsi que quelques autres produits de collaboration (chocolats, pâtes, foie gras, etc.). Certains produits sont également offerts sur le site du Panier bleu québécois.

Cageot
« Nous sommes reconnus pour notre innovation, notre création, dans la manière d’élaborer nos produits, d’où la spécificité, l’unicité de ces derniers », expliquer le président. « Nous sommes à ce jour, toujours en constante évolution. Notre développons des produits uniques et de qualité supérieure. Pas étonnant donc que le Domaine accumule médailles, prix et hommages qui lui procurent un rayonnement international », conclut-il. Fait à signaler, Pierre-Philippe Tremblay a inscrit Le Cageot et participe à l’organisme Fierté agricole régional, en tant que membre de la communauté LGBTQ. Fierté agricole a pour mission de favoriser une meilleure connaissance des réalités LGBTQ+ en milieu rural et agricole, et de faciliter l’intégration sociale des personnes de diversité sexuelle et de genre partageant un intérêt pour l’agriculture.


Domaine le Cageot emploie une dizaine de personnes à temps plein, plus une dizaine d’autres en saison pour la cueillette et autres tâches. On offre également une salle de réception pour la tenue d’événements spéciaux. Elle peut accueillir plus de 150 personnes assises et 200 personnes en formule cocktail dinatoire. Différentes possibilités, comme mariage, réception, baptême, réunion, congrès, avec bar et repas.
Des visites du domaine et de ses installations sont offertes pour des personnes ou des groupes. On y voit régulièrement des autobus de touristes durant la saison des croisières au Saguenay.

Cageot
Enfin, la question que plusieurs se posent : c’est quoi un cageot ? Le cageot, ou cagette, est une caisse ajourée, très légère et superposable dont l'utilisation la plus fréquente est le transport et l'emballage de fruits et légumes.

Domaine Le Cageot
domainelecageot.com
5455, chemin Saint-André
Jonquière (Québec) G7X 7V4
418-547-2857

Lorsqu’elle a fait l’acquisition de l’entreprise en 2018, Myriam Savard savait qu’elle s’engageait dans une aventure particulière. Elle en connaissait déjà pas mal sur Fjord en kayak puisqu’elle y travaillait à temps partiel depuis quelques années. Aujourd’hui, elle est passée en mode développement en ajoutant des activités hivernales sur le fjord pour les aventuriers pas trop frileux. Elle a à cœur de s’impliquer pour un développement durable à L’Anse-Saint-Jean, de redonner à la communauté tout en oeuvrant dans un contexte de développement durable.

Fjord en Kayak


Voilà presque 28 ans que Fjord en kayak a vu le jour à l’Anse Saint-Jean. On y propose depuis 1996 de découvrir le Parc national du Fjord-du-Saguenay sous un nouvel angle. Sortir de l’ordinaire en troquant la randonnée en montagne pour une des nombreuses activités de kayak de mer, voilà ce qui motive et anime Myriam Savard et son équipe de 14 à 16 personnes agissant comme guides. Un vaste choix d’activités sur l’eau saura répondre au goût de tous et chacun.


Fjord en kayak possède 22 kayaks en tandem et 11 en solo. Il est aussi possible de venir prendre part à une excursion avec son propre kayak, si celui-ci rencontre les exigences.

Fjord en Kayak
À l’hiver 2023-24, l’entreprise ajoutera à son menu des excursions de 4 jours en ski hors-piste sur le fjord gelé, avec nuitées en tentes, pour des groupes de 6 à 8 personnes. L’excursion prendra son départ de La Baie pour se terminer à l’Anse-St-Jean, le tout en compagnie d’un guide chevronné. Myriam Savard est fière de proposer cette nouvelle activité qui va attirer une nouvelle clientèle tout en contribuant à prolonger la saison de l’entreprise.


« Le tourisme d’aventure jouit d’une grande popularité au Québec. Fjord en kayak s’est taillée une expertise et une réputation solides en la matière », assure la propriétaire. Chaque année, un grand nombre de visiteurs y viennent pour des formations ou des initiations au kayak de mer. Fjord en Kayak est accrédité par Canot Kayak Québec pour offrir les formations Niveau I, II et III en kayak de mer. On va maintenant pouvoir ajouter les excursions hivernales à notre expertise », se réjouit-elle.

Fjord en Kayak
Faire voyager en kayak de mer sur un plan d’eau indomptable et magnifique, le Fjord du Saguenay, voilà ce qui est à la base de la mission de l’entreprise qui se distingue par son souci de la sécurité, la qualité de son matériel, la formation supérieure de ses guides, ses repas gastronomiques, ses forfaits pour les familles ainsi que sa sélection d’expéditions guidées de 2 à 4 jours. Le fjord du Saguenay subit deux marées quotidiennes pouvant aller jusqu’à 6 mètres, ce qui intervient dans les courants et les impacts sur la navigation. Pour les moins aventuriers, mais amateurs de sports nautiques, on peut y louer un kayak de lac ou une planche à pagaie pour de courtes périodes d’exploration de l’Anse St-Jean lorsque la météo est favorable.


Myriam Savard est satisfaite de la tournure des événements malgré la pandémie des dernières années. « Les Québécois ont voyagé en région puisque les voyages à l’étranger étaient impossibles, ce qui nous a donc été bénéfique », explique-t-elle.

Fjord en Kayak
Comme si cela ne suffisait pas de gérer une entreprise, elle est maman à temps plein de deux enfants, en plus d’avoir entrepris des études supérieures en comptabilité et gestion des affaires après une Attestation d’études collégiales (AEC). Elle souhaite pouvoir compléter maintenant une Maitrise en gestion des affaires aux HEC. Elle possède son niveau 2 de la Fédération de canot kayak du Québec.
Fait à signaler, l’entreprise a gagné au fil des ans de nombreux prix décernés par Tourisme Québec, des organismes spécialisés en écotourisme et plein air et le monde municipal régional.

Fjord en kayak
fjordenkayak.ca
359, rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, QC G0V 1J0
418 272-3024

Les voyageurs et touristes à la recherche d’un endroit calme et attrayant pour s’installer quelques jours dans le secteur de l’Anse Saint-Jean, au Bas-Saguenay, seront charmés par cet appartement logeant au rez-de-jardin d’une maison située en bordure de la rive est de la rivière Saint-Jean, en retrait de la route.

Secret gardé Secret gardé
L’endroit ayant son entrée privée en bas de la résidence des propriétaires-hôtes, occupe 800 pc (75 mc), très lumineux, avec une belle terrasse directement sur le bord de la rivière, un accès direct à la piste cyclable, à quelques minutes du quai de l’Anse et à 8 km du mont Édouard. On y offre l’accès au wifi, à la télévision câblée, un foyer électrique créant une ambiance chaleureuse. L’appartement est entièrement équipé, avec chambre fermée, une salle de bain privée, bref un petit coin de paradis, secrètement installé sur le bord de la rivière St-Jean à proximité de l’activité du village.

Secret gardé Secret gardé
La maison elle-même est dotée d’une architecture unique que les anciens propriétaires avaient eux-mêmes conçus, ce qui ajoute à la particularité de l’endroit. L’aménagement paysager est également des plus luxuriants.


Les propriétaires Jean-Michel et Mario, sont des professionnels de la coiffure qui ont choisi de vivre à la campagne même s’ils ont leur studio à plusieurs dizaines de kilomètres de là. Ils sont sympathiques et accueillants et savent rendre leurs invités à l’aise afin de rendre leur séjour des plus agréables.

Secret gardé Secret gardé
L’endroit comporte de nombreux attraits, comme une terrasse où on peut veiller au bord du feu tout en écoutant le murmure de la rivière qui coule vers le fjord du Saguenay un peu plus loin. On y est à peu de distances des nombreux lieux touristiques de l’Anse : café, restaurant-bistro, chocolaterie, boutiques et micro-brasserie, entre autres. Au quai de l’Anse Saint-Jean, on peut s’embarquer pour des croisières sur le fjord ou encore partir en randonnée à kayak pour quelques heures ou même quelques jours.


Le cœur du village a plusieurs attraits culturels et patrimoniaux qui sauront intéresser les visiteurs. Le pont couvert à lui seul représente un élément spectaculaire du paysage.

Secret gardé
Jean-Michel et Mario seront toujours heureux d’accueillir les occupants de cet appartement dans ce petit coin de paradis.

Le Secret de l’Anse
Page Facebook
35, chemin Saint-Thomas sud
L’Anse Saint-Jean, Qc, G0V 1J0
418 817-0293

L’endroit était fermé et inoccupé depuis un certain temps. On y avait déjà tenu une résidence pour ainée. Depuis sa construction en 1902, l’endroit situé dans le quartier des notables de l’Arrondissement Jonquière de la Ville de Saguenay, a connu plusieurs vocations.


En 2021, Daniel Bolduc, un entrepreneur et propriétaire immobilier de la région, et sa conjointe Lise Laberge, se portent acquéreurs de cet immeuble ancestral de style victorien. En pleine pandémie, ils se mettent à la tâche pour remettre l’endroit en état pour accueillir les clients pour y loger ou pour y manger.

Les Deux Tours
Pas besoin de chercher longtemps pour comprendre d’où vient le nom de l’établissement. Il est coiffé de deux tours jumelles qui le distinguent des autres aux alentours. L’auberge offre 7 chambres climatisées et une salle à manger pouvant accueillir 50 personnes au rez-de-chaussée, en plus d’une terrasse en saison.

 
« Nous avons effectué de nombreux travaux pour transformer cette maison en une auberge de charme et offrir un hébergement paisible et confortable », explique Daniel Bolduc. Chaque chambre dispose d'une salle de bain avec douche et un climatiseur pour assurer le confort durant les nuits chaudes de la haute saison. Toutes les chambres disposent d’un petit réfrigérateur et certaines offrent une vue sur l'Église Saint-Dominique juste en face.


Ce qu’il manquait, c’était un chef cuisinier pour créer un menu qui soit attrayant, mais aussi pour assurer la relève éventuellement. C’est ainsi qu’après de fructueuses démarches auprès d’organismes spécialisés et une participation aux Journées Québec-France en 2022, un prestigieux chef cuisinier français s’est présenté à eux. C’est donc avec toute sa petite famille que le médaillé d’argent du concours Best of Gastronomie International 2022, Frédéric Poirier, a posé le pied au Québec en janvier dernier dans le but de s’établir à Saguenay, de repartir à zéro et peut-être de devenir, un jour, propriétaire de l’auberge.

Les Deux Tours
En ce qui concerne le menu, les propriétaires de l’auberge souhaitent poursuivre un peu comme celui qu’ils ont actuellement, mais en ajoutant des plats classiques ou plus élaborés, avec ce petit quelque chose de la cuisine française qui les fera se démarquer de la concurrence. On parle donc d’un restaurant semi-gastronomique français, où le chef élabore des plats locaux et saisonniers. Daniel Bolduc envisage aussi d’offrir un service de traiteur. Il projette donc d’agrandir le bâtiment à l’arrière pour prolonger la cuisine au cours de 2023-2024, incluant l’aménagement d’une terrasse sur le toit.

Les Deux Tours

La salle à manger est ouverte du mercredi au dimanche pour les petits déjeuner et les soupers. À partir de la mi-mai, on y sert aussi les repas du midi. L’endroit propose aussi des soupers-chansonniers à quelques occasions durant l’année.


Daniel et Lise n’avaient peut-être pas de réelle expérience en hôtellerie et restauration avant de devenir aubergistes, mais ils ont une longue expérience en commerce de détail et en immobilier. Ils sont heureux et fiers de ce qu’ils ont accompli depuis leur acquisition, malgré les aléas de la pandémie qui les a forcés à fermer leur établissement pendant plusieurs semaines. La réponse de la clientèle est excellente.


Auberge les Deux Tours
aubergedeuxtours.qc.ca
2522, Saint-Dominique
Saguenay (Jonquière), QC
(418) 695-2022

L’Anse Saint-Jean cherchait une nouvelle vocation pour le vieux presbytère voisin de l’église. Il y a bien eu un projet de centre culturel, et une boulangerie y a tenu commerce un certain temps. Aujourd’hui, il semble bien que ce soit l’entreprise de David Landman, Français d’origine et cuisinier de formation depuis 18 ans, qui va occuper l’endroit.
Kao Chocolat
Ce passionné de la saveur, de la justesse et de l’extravagance gustative opère et dirige une chocolaterie dans ce village du Bas-Saguenay en bordure du fjord. KAO Chocolat charme déjà les amateurs de chocolat depuis 2014. D’abord acquise avec un ami de longue date, l’entreprise a déménagé en 2022 dans le vieux presbytère. On parle même d’un projet d’acquisition du bâtiment en cours.


David, a débuté sa carrière comme apprenti à Paris, ensuite à Bruxelles, puis l’a poursuivie à Montréal. Son implantation à L’Anse-Saint-Jean remonte à 2018. Charmé par l’âme du village, David était en alors à la recherche de nouveaux défis : l’opportunité d’acquérir KAO Chocolat fût pour lui l’occasion de quitter Montréal et de s’associer alors avec son ami Peter.

Kao Chocolat
Fort de ses bases sur le travail du chocolat, David voit en KAO Chocolat l’opportunité de faire vivre le terroir québécois en l’exprimant par la création de fines bouchées gourmandes et irrésistibles. On parle ici d’une palette de saveurs issue de la forêt boréale et du terroir québécois, à travers l’univers du chocolat.

Kao Chocolat
« KAO Chocolat a débuté modestement, mais ses produits, en raison de leur originalité et de leur qualité, ont tout de suite connu le succès. D’où la nécessité de s’agrandir », explique le chocolatier. Kao Chocolat compte quatre employés en temps normal. Ce nombre augmente à cinq ou six pendant la période de pointe de l’été.
Kao Chocolat
KAO Chocolat produira donc sa gamme de produits fins dans le vieux presbytère de L’Anse-Saint-Jean encore en 2023. David insiste sur l’importance pour KAO Chocolat de s’identifier à son milieu. « Je veux créer des saveurs originales à partir de produits locaux ; il va sans dire que le bleuet figure dans ma liste ! D’autre part, mon approvisionnement est assuré, tant que c’est possible, par des fournisseurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Les matières premières proviennent de producteurs de fermes biologiques et/ou équitables afin de respecter le savoir-faire traditionnel et l’environnement de nos communautés locales ».

Kao Chocolat
Pour ce qui est du cacao, sa démarche respecte le travail des producteurs et la valorisation de leurs terres. Sa priorité à cet égard est l’équité. La protection de l’environnement fait également partie de ses priorités. « Je fais en sorte de réduire à la source la production de déchets. Par exemple, tous nos emballages sont fabriqués à partir de matières recyclés et réutilisables. »


Dans ses projets à court terme, il aimerait pouvoir transiger avec les producteurs de cacao et transformer lui-même les fèves pour avoir un plein contrôle sur la qualité des chocolats qu’il confectionne. Il y travaille sérieusement.

Kao Chocolat
Puis, pour l’été 2023, KAO ajoutera à ses produits les gelatos au chocolat noir, blanc et au lait qu’il servira directement par un comptoir installé pour l’occasion donnant sur la galerie. Des tables et des chaises seront installées au balcon et sur le parterre adjacent. On pourra les déguster dès la mi-juin selon les plans prévus. David parle aussi d’aménager une autre section du presbytère pour en faire un lieu on pourra déguster les produits de KAO.

KAO Chocolat
kaochocolat.com
261 rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, QC, G0V 1J0
(418) 608-8005

Ils se sont connus à Québec, par le biais de l’Internet. Avant les réseaux sociaux actuels. Un babillard électronique. Années 1990. Ils y étaient chacun pour des raisons différentes, mais pas tant que ça finalement.


Patrick Fournier est originaire de Dolbeau, celui d’avant la fusion. Sébastien Simard a vécu sa jeunesse à La Baie. Ils avaient déjà quelques atomes crochus régionaux avant même de se connaître. Malgré qu’on dit toujours que le Saguenay et le Lac Saint-Jean, ce n’est pas pareil. Au fond, c’est en définitive leur goût pour la cuisine qui les a vraiment réunis.

Baumier
Patrick est allé suivre un cours de cuisine en formation professionnelle à Fierbourg à Québec, en 1996. Sébastien faisait déjà ses débuts dans les cuisines de restos. Puis ils ont eu envie de vivre autre chose, d’aller vers des défis à d’autres niveaux. Ils avaient déjà commencé à travailler ensemble en cuisine à quelques occasions. C’est à Montréal qu’ils ont trouvé ce qu’ils cherchaient.


Patrick est catégorique : il savait ce qu’il voulait faire depuis longtemps. Il voulait pouvoir acquérir l’expérience et l’autonomie qui lui permettraient de diriger une cuisine et tout ce qui vient avec. Pour sa part, Sébastien a eu la chance de vivre des expériences professionnelles plutôt satisfaisantes pour un chef : d’abord deux ans avec Jean-François Plante, considéré comme un artiste et un maître de la gastronomie, de qui il a beaucoup appris, puis pendant cinq ans au célèbre et cossu club de golf Mirage à Terrebonne, propriété de René Angélil et de Céline Dion à l’époque, où tout le gratin québécois et même international s'y retrouvait en tout temps.


Puis, à un certain moment, en 2020, une offre assez alléchante est arrivée. La direction de l’Hôtel du Jardin à Saint-Félicien, au Lac Saint-Jean, souhaite donner un nouveau souffle au restaurant Le Baumier, nommé en référence au conifère qu’on trouve en abondance dans la région. Patrick Fournier reçoit l’offre d’en devenir le chef. Il n’est cependant pas question qu’il y vienne seul. Il exige que son conjoint Sébastien Simard fasse partie de l’offre. Aussitôt demandé, aussitôt accepté.

Baumier
C’est ainsi que tous deux se sont retrouvés aux cuisines du Baumier en septembre 2020, en pleine pandémie de COVID. Ce fut là une occasion en or pour faire valoir leurs talent pour la préparation de commandes à emporter alors que la santé publique avait ordonné la fermeture des salles à manger.
Depuis, le couple de chefs a pu démontrer à de multiples reprises que les propriétaires de l’hôtel du Jardin ont misé juste en les embauchant.
Le Baumier fait vivre à des convives l’expérience du plaisir à la table, dans un décor charmant et convivial. On y propose des mets avant-gardistes, inspirés des saveurs nordiques. On y découvre chaque fois des plats savoureux, déclinés au gré des saisons. Tout est concocté sur place, avec passion, afin d’offrir une qualité et une fraîcheur qui honorent les produits régionaux.

Baumier
Parce que les plats gastronomiques concoctés par les chefs sont inspirés des saveurs boréales et pensés autour des traditions ancestrales québécoises, le tout avec leurs touches personnelles distinctes de façon avant-gardiste et en respectant les produits sans les dénaturer.
Le Baumier est fier dépositaire des Ambassadeurs de La Zone Boréale de la table agroalimentaire du Saguenay-Lac-St-Jean et fait partie également de la mention Aliments du Québec.


D’ailleurs, lors du Gala de la Table agroalimentaire 2023, Patrick et Sébastien se sont mérités les honneurs dans la catégorie « Efforts d’achats en produits locaux ». Ils ont alors tenu à remercier les producteurs locaux et régionaux « pour les produits exceptionnels de qualité avec lesquels nous avons la chance de travailler ». Ils ont aussi souligné le soutien de leurs patrons, la famille Beaubien, sans qui rien ne serait possible, se disant choyés et heureux de travailler pour eux.

Baumier
Les deux chefs du Baumier ont encore plein de projets en tête, pour toujours favoriser et mettre en valeur le terroir québécois. Ils souhaitent aussi imaginer de nouvelles tables d’hôte au fil des saisons. Ils ont aussi insisté pour que le menu en salle à manger soit imprimé sur un support de qualité dans le but de bien démontrer leur détermination à offrir une image de marque prestigieuse, à la hauteur des mets qui sont servis.

Baumier
Enfin, mentionnons que le Baumier reçoit chaque année de nombreuses célébrations de mariages, dont des unions de couples de même sexe. On s’efforce d’en faire toujours des événements remarquables et inoubliables à tous les niveaux. Les deux chefs y sont mis à contribution bien entendu.
Baumier
Restaurant Le Baumier de L’hôtel du Jardin

hoteldujardin.com/restaurantlebaumier

1400, boul. du Jardin

Saint-Félicien (Qc)

418 679-8422

Pour Sébastien Pirot, l’amour est dans les Alpes françaises. Pourquoi ? Parce que c’est là qu’il a rencontré sa conjointe et mère de ses trois enfants. Son associée du coup !


C’est donc de là que tout est parti. En 2003, il fait une première visite au Québec. En 2006, lors d’une visite chez une amie, il découvre l’Anse St-Jean. D’origine bretonne, Sébastien Birot a fait plusieurs tours du monde avant de venir y établir sa famille dans ce magnifique village du Bas-Saguenay. Il a séjourné ou travaillé dans plus d’une de dizaine pays.

 
Mais l’amour, plus fort que tout, l’a porté ici. Il y a fait l’acquisition d’une maison en pleine nature. Ses trois enfants y sont nés et y grandissent. Chaque année, il devait retourner en France pour travailler l’été. Et à son retour en automne, il repartait parfois vendre des arbres de Noël à New-York. Mais c’est enfin à l’Anse qu’il a fini par réaliser un de ses vieux rêves : avoir son propre établissement et partager les saveurs de son pays d’origine.


En 2012, il apprend entre les branches que les propriétaires de la boutique les Rebelles des bois face au quai souhaitent ouvrir un café dans leur établissement. Rebelles des Bois représente le travail de plus de 80 artisans et designers québécois. L'entreprise crée également une ligne de bijoux et d'objets design.


Qu’à cela ne tienne, Sébastien se met au travail et planifie ce qui deviendra le premier et encore seul restaurant à offrir une des fiertés de son coin de pays d’origine : les crêpes bretonnes.

Café du quai
Ouvert à l’été 2013, le Café du quai a comblé un vide dans le paysage saguenéen selon plusieurs. De nombreux produits des artisans et producteurs locaux ont par ailleurs fait leur apparition sur le menu, permettant d’heureuses combinaisons entre les terroirs. « Parce que dans la cuisine aussi, les cultures se rencontrent, se marient », rappelle Sébastien avec un sourire coquin.


L’endroit est idéal : face à un quai où chaque jour en saison des centaines de visiteurs embarquent ou débarquent de bateaux de croisières ou d’autobus, où des dizaines de kayakistes viennent s’adonner à leur sport, où de nombreux plaisanciers y ont leur bateau à la marina. Sans parler de tous les autres qui viennent découvrir le magnifique paysage du fjord, pour quelques heures ou quelques jours. Sur deux étages, on peut accueillir jusqu’à une cinquantaine de clients à la fois. L’endroit procure de l’emploi à 22 personnes.

Café du quai
Sébastien s’est assuré des services de chefs qualifiés qui ont su s’approprier les meilleures recettes de crêpes bretonnes. On n’y fait pas que des crêpes repas, desserts ou flambées au Café du quai. On y sert aussi des sandwiches et paninis, et on offre des tables d’hôte. On a même vu passer au menu un Club Sandwich du quai au poulet mariné, bacon, jambon, fromage suisse, tomate, mayo assaisonnée maison & épinard. Les cafés y sont aussi à l’honneur.

Café du quai
Sébastien invite ses compatriotes à venir retrouver un morceau de saveur de France. Et pour les Québécois et voyageurs de partout ailleurs, à y découvrir ou redécouvrir ce volet de la gastronomie qui puise ses sources dans une philosophie de vie simple et authentique, nourrie au grand air de Bretagne. Ouvert 7 jours durant l’été, et sur un horaire qui varie en hiver et au printemps.

Café du quai – Restaurant et crêperie bretonne
cafeduquai.ca
358 A, rue Saint-Jean-Baptiste
L'Anse-Saint-Jean, Quebec G0V 1J0
(418) 272-1190

À l’Anse St-Jean, Le Bistro La Chasse-Pinte, qui a fêté ses 20 ans en 2022, a peu à voir avec un chaudron. Car faut-il le préciser, cette expression est en lien avec la fameuse tourtière : celle du Lac-Saint-Jean bien entendu, mais au Saguenay on la cuisine d'abord dans une « chasse-pinte » - déformation du mot anglais saucepan qui signifie « poêle » ; cela dit, la chasse-pinte ressemble plutôt à une grande marmite.
Chasse-Pinte
En 2002, un groupe d’Anjeannois et d’Anjeannoises transformait un ancien camp de pêche de la famille Price en petit bistro culturel. Très rapidement, le Bistro de l’Anse est devenu un espace de socialisation incontournable, avec une riche vie culturelle. Aujourd’hui, l’établissement est reconnu comme une véritable institution dans toute la région. On y trouve un menu proposant des mets originaux, on peut y boire des bières et des cocktails, et on peut assister à des présentations musicales diverses mettant en présence des artistes connus ou moins connus et ce, durant tout l’été.

Chasse-Pinte
En 2013, on décide de créer une coopérative de solidarité pour la mise en place d’une microbasserie. La coopérative acquiert alors le bistro qui porte dorénavant le nom de Chasse-pinte, comme la microbasserie qui a débuté ses activités en 2015 dans les locaux de l’ancienne caserne de pompier. Depuis, la microbrasserie crée des bières mettant en valeur la richesse de la botanique forestière boréale. On peut les déguster au Bistro et les retrouver chez des détaillants partout au Québec.


La microbrasserie emploie une dizaine de personnes qui voient à la production des divers types de bières biologiques, dont la Peau-de-Lièvre, une blanche aux fleurs, et la Crochetée, une ambrée au thé du Labrador sont parmi les plus populaires parmi la vingtaine qu’on y brasse. Elles sont classées par les appellations Classique, Créatives, Houblonnées, Brassins uniques.

Chasse-Pinte
Plus récemment, en 2021, on a procédé à l’aménagement d’une petite boutique, voisine du Bistro (dans un ancien casse-croûte), visant la vente des différentes bières de la microbrasserie, t-shirts, casquettes, etc., et autres souvenirs auxquels s’ajoutent des produits du terroir de la Ferme d’en haut, Ail du Moulin, Délices du Lac-Saint-Jean ainsi que d’une dizaine de productions agroalimentaires.


En ce qui concerne les futurs projets de développement, la directrice du marketing de la coopérative, Ève Breton, explique qu’on va s’attarder à consolider les trois produits actuels, en plus d’ajouter une ligne de mets prêts-à-manger et de plats cuisinés qu’on pourra se procurer à la boutique. On pourra ainsi mieux répondre à la demande, ce que le Bistro lui-même ne suffit plus à rencontrer, sa popularité étant constamment en croissance année après année.

Chasse-Pinte
De plus en plus, L’Anse-Saint-Jean c’est un milieu de vie créatif ou foisonnent les activités de plein air, ce qui en fait l’endroit rêvé pour passer un été rempli de belles rencontres et de nature. Les activités de croisières, de navigation de plaisance, de kayak et autres activités saisonnières amènent des gens qui souhaitent profiter des produits et services qui sont offerts. Le Bistro est donc victime de son succès et c’est pourquoi la coopérative souhaite pouvoir donner accès à la qualité de sa cuisine au plus de gens possible.


La Coopérative de solidarité La Chasse-Pinte emploie près de 40 personnes annuellement. Elle compte plus de 1100 membres.


Bistro La Chasse-Pinte
chasse-pinte.com
319, rue Saint-Jean-Baptiste
Boutique La Chasse-Pinte
317, rue Saint-Jean-Baptiste
L’Anse-Saint-Jean, Qc G0V 1J0
418 272-4222

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