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Les territoires de la Gaspésie et des Maritimes couverts dans ce Guide ont été occupés depuis des millénaires par les Mi’gmaqs que les Français appelaient Micmacs. Encore aujourd’hui, ce sont des communautés de cette Première Nation que vous rencontrerez sur tout ce territoire.
À Gaspé, lieu symbolique des premières rencontres entre l’explorateur français Jacques Cartier et cette nation autochtone, le Site d’interprétation Micmac de Gespeg a pour mission de mettre en valeur la culture micmac de la communauté de Gaspé. À travers ses activités d’interprétation, ce site met en lumière l’histoire de la communauté de 1675 à nos jours en offrant une expérience authentique et originale à ses visiteurs. La boutique du site offre une gamme de produits d’artisanat authentique et de qualité. Elle met en valeur l’artisanat mi’gmaq ainsi que d’autres produits de cultures autochtones du Québec.
Du côté de la Baie des Chaleurs, Gesgapegiag attire de nombreux touristes désireux de profiter des différents attraits de cette partie du territoire mi’gmaq. Pour les touristes venus faire le tour de la Gaspésie, il est possible de s’arrêter dans la communauté pour pique-niquer dans le parc communautaire ou d’aller admirer le tipi qui a été érigé au bord de la mer en 2018.
La communauté de Gesgapegiag s’est dotée d’un domaine de chalets et a installé plusieurs tipis dans l’Anse Sainte-Hélène pour offrir aux touristes la chance de vivre un séjour authentique. Il est aussi possible pour les touristes de séjourner dans la réplique du navire La Grande Hermine, un des navires utilisés par Jacques Cartier. Pour les randonneurs et les motoneigistes, Le Relais de la Cache se trouve tout près des monts Chic-Chocs.
Chaque année en juillet, la communauté organise un Pow-Wow, une fête traditionnelle où se réunissent tous les Mi’gmaqs de la région et à laquelle sont conviés tous les gens intéressés à découvrir leur culture et leurs traditions. Cette célébration amalgame chants, danses, cuisine et contes traditionnels.

En arrivant à Trois-Pistoles, il est difficile de manquer la Fromagerie des Basques qui offre une grande variété de fromages affinés et vieillis ainsi que des fromages frais du jour en grains et en blocs, ainsi qu’ un large éventail de produits de la région. Un peu plus loin, la Ferme du Castor gras, une ferme de proximité inspirée de l'agriculture régénérative et de la permaculture, offre des fruits, légumes et champignons en harmonie avec différents élevages en liberté dans le respect des pratiques écologiques.
Au cœur de Trois-Pistoles, le restaurant Biarritz offre une cuisine variée proposant poissons, fruits de mer, salades-repas, pâtes, grillades et brochettes en formule Apportez votre vin. Sa terrasse offre une vue imprenable sur l’estuaire. Le resto offre aussi des repas pour apporter et du prêt à manger (réfrigéré et congelé). 

Non loin le café Grains de folie est le rendez-vous des amateurs de bons cafés et repas légers. C'est au cœur du village qu'est installée la microbrasserie Le Caveau des Trois-Pistoles. L'ancien Caveau à patates, puis Caveau-Théâtre de Victor-Lévy Beaulieu, est maintenant la scène sur laquelle se produisent plusieurs bières d'inspiration derrière lesquelles s'écrit toute une histoire. De La Dame des Neiges, blanche aux conifères, jusqu'à La Pistoloise Triple, belge rubis de style d'abbaye, en passant par La Guerre des Clochers, stout au seigle, et La Bavarde, IPA fumée, les œuvres de la maison ne cessent d'étonner les papilles du public, partout au Québec. Les bières du Caveau sont disponibles chez les détaillants spécialisés, avec quatre lignes en cannettes! La gamme de tradition belge restera pour sa part dans les chic bouteilles de la maison. Il est également possible de s’y restaurer en mode accord bière et bouffe.
Non loin, la pâtisserie Origine offre ses pains artisanaux, pâtisseries et viennoiseries.
Mais pour des gâteaux vraiment hors du commun ou du chocolat, il faut visiter Aux petits caprices à Saint-Simon-de-Rimouski aux confins de la MRC des Basques.

La dernière semaine d’août annonce traditionnellement la rentrée scolaire, mais l’été n’est pas encore terminé. Et a fortiori cet été où les températures caniculaires en août permettent d’espérer un été qui finisse en beauté en septembre, un mois qu’affectionnent beaucoup de gais et lesbiennes pour prendre leurs vacances quand la cohue est passée. Si vous n’avez pas eu la chance d’aller à la mer cet été, c’est l’occasion de vous reprendre et nos deux nouveaux Guides GQ Du Bas du Fleuve aux Îles et À l’orée du Québec boréal vous fourniront une foule d’idées d’escapades et de vacances maritimes.
Ces deux nouveaux Guides sont issus de la séparation du Guide GQ Du fjord aux Iles selon les rives du Saint-Laurent, de l’estuaire au golfe. Le Guide Du Bas du Fleuve aux Iles couvre tout le Québec maritime au sud du Saint-Laurent, du Bas-Saint-Laurent aux Iles de la Madeleine avec un chapitre sur l’Acadie du Nouveau-Brunswick et l’Ile-du-Prince-Édouard. Le Guide À l’orée du Québec boréal couvre toutes les régions au nord de l’estuaire et du golfe aux portes de la forêt boréale, la Côte-Nord, le Saguenay et le Lac-Saint-Jean, régions auxquelles on a ajouté Charlevoix qui jouxte le Saguenay et la Côte-Nord et qui est une région que doit traverser quiconque se dirige de la Vallée du St-Laurent vers la Côte-Nord.
Ces vastes régions qui s’étendent sur plus de 1000 km vous offrent un vaste éventail d’expériences maritimes : des eaux de mer baignables du côté de la Baie des Chaleurs, de la Péninsule de Manicouagan et des côtes acadiennes du Nouveau-Brunswick, des paysages marins époustouflants de Charlevoix aux îles de la Madeleine, en Gaspésie comme sur la Côte-Nord, un lac grand comme une mer du côté du Lac Saint-Jean, des montagnes qui plongent dans la mer en Gaspésie, dans Charlevoix ou dans Manicouagan. Et un peu partout des centaines de km de sable fin où amants et amantes sont seules au monde. Et bien sûr des centaines d’endroits pour se régaler d’une cuisine à base de poisson, de fruits de mer ou de gibier typique de ces régions. Et des centaines d’établissements homosympas qui vous accueillent.

Déménagées aux Méchins depuis un an, Daphné et Elaine réalisaient un rêve: vivre au bord de la mer. Elles étaient tombées en amour avec cette petite maison jaune au cœur des Méchins avec une vue imprenable sur la mer. Dans cette Matanie qui profitent des plus beaux couchers de soleil du Québec, elles se voyaient au paradis. Les astres se sont alignées et elles en ont fait l'acquisition l'an dernier.
Elaine et Daphné

Et elles ont vu immédiatement la possibilité de faire profiter des amis de leur coin de paradis. Elles ont donc aménagé un loft au rez-de-chaussée. Ce confortable appartement de tourisme avec deux chambres et un accès indépendant peut aisément recevoir de 3 à 5 personnes. Avec sa cuisine, son salon et son aire de repas, les visiteurs y sont totalement autonomes. Et en prime, ils ont accès à la petite plage privée juste devant la maison à l'embouchure de la petite rivière dont les eaux sont baignables l'été. 

Au cœur du village, près du quai et du parc municipal en bord de mer, c'est un excellent endroit pour observer les mammifères marins ou ramasser des coquillages sur la grève. Aux limites de la Matanie, Les Méchins sont voisins de Cap-Chat et de Sainte-Anne-des-Monts. Le loft peut donc servir de point d'ancrage pour visiter autant les attraits de la Matanie que ceux de Cap-Chat ou de Ste-Anne-des-Monts et les Monts Chic-chocs dans l'arrière-pays.

Coucher de soleil aux Mechins
Et bien évidemment c'est une adresse des plus accueillantes pour les touristes LGBT. Bien qu'elle soit facilement trouvable puisque tout le monde aux Méchins connaît La Petite Maison jaune et ses nouvelles hôtes, je vous laisse les coordonnées.

La Petite Maison Jaune
514.895.5294

[email protected]

Après avoir quitté sa Bretagne natale pour le Québec en 1977, Gérard Pourcel a tour à tour été enseignant, chroniqueur littéraire, journaliste, directeur d’organismes littéraires, puis agent culturel pour le Ministère de la Culture. Ses emplois successifs l’ont amené à vivre à Alma, Jonquière, Montréal, puis Baie-Comeau où il s’est fixé à la retraite. C’est là qu’il s’implique dans l’Association des hommes gais de Manicouagan jusqu’à sa dissolution en 2009.
Esprit libre, mal à l’aise face aux rectitudes politiques et morales, ses sources d’inspiration s’ancrent dans le terreau social et humain souvent banal. Il force le destin de ses personnages fictifs, mais si vrais, dans leurs zones d’ombre, sans pour autant les juger. Essentiellement nouvelliste et accessoirement blogueur, il s’exerce même à l’art du haïku avec un ton humoristique, voire corrosif.
Il avoue publier peu, mais l’écriture est toujours au centre de ses préoccupations. Prix de la Plume saguenéenne en 1984 pour une nouvelle, Pas de café pour Émile, il publie son premier recueil, Le Dernier été balkanique en 1989. Au cours des ans, il a signé plusieurs nouvelles dans le collectif Un lac, un fjord, un fleuve, chez XYZ éditeur, aux éditions Tire-Veille et dans la revue littéraire de la Côte-Nord Littoral.
Chroniques d'une mémoire infidèle

Il nourrit son imaginaire de ses voyages en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Amérique du Nord, centrale et du Sud et, plus récemment, au soleil de Cuba en hiver, où il a écrit son recueil de nouvelles paru en 2012, Chroniques d’une mémoire infidèle. Les onze nouvelles de ce recueil nous transportent de la Côte-Nord au Village gai de Montréal, des États-Unis au Mexique, en passant par Cuba et le Maroc. Mais au-delà de l’exotisme des sables brûlants et des hivers enneigés, c’est un voyage au cœur de l’humanité que nous propose l’auteur. Passions, idéaux, sentiments nobles et moins nobles, sensualité, séduction, désir. Un parcours audacieux, souvent empreint d’humour, qui explore les arcanes de la sensibilité gaie.


De Pessamit à Jérusalem

En 2021, il nous offre De Pessamit à Jérusalem: Une Innue se raconte qu’il a corédigé avec et à partir des souvenirs et de la vie de sa voisine Ninon Labrie qui raconte le parcours atypique de cette femme qui a su construire son bonheur et celui des autres.

La Minganie
AU PAYS DE GILLES VIGNEAULT

Sept-Îles est le point de départ autant par voie terrestre que maritime pour explorer la Minganie et la Basse-Côte-Nord. La Minganie s’étend sur 260 km entre Rivière-au-Tonnerre et Natashquan à l’est de Sept-Îles, une région encore largement sauvage où s’égrainent quelques villages côtiers et où plus de la moitié des quelque 6 000 habitants de ce vaste territoire vit à Havre-Saint-Pierre. Comme la route 138 s’arrête à Kegaska à une quarantaine de km à l’est de Natashquan, c’est par traversier, toujours en partance de Sept-Îles, qu’on accède à la Basse-Côte-Nord à moins de faire route vers le Nord et de revenir via le Labrador, une expédition de 1,700 km de Baie-Comeau à Blanc-Sablon.

La nature de ces contrées peu peuplées est grandiose et les principales activités touristiques sont les activités de plein air, l’observation d’oiseaux et de mammifères marins et la découverte du coin de pays qui a inspiré ce poète national du Québec qu’est Gilles Vigneault. Dans cette région, les plages de sable fin se succèdent.

Chute Manitou
Dès l’entrée en Minganie, à Rivière au Tonnerre, la Chute Manitou haute de 35 mètres nous fait entrer dans la démesure. L’église en bois centenaire de ce village est à l’image de cette démesure et vaut le détour.
À 175 kilomètres de Sept-Îles, le village de Longue-Pointe-de-Mingan est la première destination touristique en importance de la région. Il doit son nom à la pointe de sable qui avance dans le golfe où des pêcheurs gaspésiens venus de Paspébiac (qu’on appelle les paspayas) se sont installés en 1849. La longue plage de sable au cœur du village est bordée d’une promenade.
De Longue-Pointe-de-Mingan, vous pourrez faire une excursion et aller explorer l’archipel de Mingan et ses célèbres monolithes de pierre sculptés par les marées et le vent. Vous pourrez aussi visiter l’Ile  aux Perroquets et son phare et y observer en saison les macareux moine. Et même séjourner à l’Auberge aménagée dans les maisons du gardien du phare et de son assistant.

À quelques km, vous pourrez vous allonger sous les bouleaux de la légendaire rivière Mingan et découvrir la culture innue à la Maison de la culture de la communauté d’Ekuanitshit.
Marina de Havre-St-Pierre
À 30 km, Havre-Saint-Pierre, la seule ville de la région, est reconnue pour sa pêche au crabe des neiges, ses moules, pétoncles et homard. Fondée par des pêcheurs madelinots en 1857, la ville affiche fièrement ses origines acadiennes. Vous risquez plus d’y voir le tricolore étoilé acadien que le fleurdelisé. Havre-Saint-Pierre est le port d'accès de la Réserve de parc national de l'Archipel-de-Mingan et plusieurs entreprises offrent des visites guidées des nombreuses îles de l'archipel, un chapelet d’îles calcaires situées au large face à l’île d’Anticosti. On y retrouve des structures géologiques exceptionnelles, les monolithes, ainsi qu’une végétation de type boréal. Les eaux entourant les îles sont riches en oiseaux et en vie marine, dont le macareux moine qui niche sur certaines îles de l’archipel.
Plage d'Aguanish
En poursuivant la route vers l’est, vous découvrirez le charmant village de Baie-Johan-Beetz et vous vous laisserez peut-être tenter par le vaste banc de sable d’Aguanish, juste avant d’arriver à Natashquan, un village rendu légendaire par les chansons de Gilles Vigneault qui a largement mis la Côte-Nord sur la carte du Québec. Relié au réseau routier depuis 1996, c’est un lieu de tourisme culturel, notamment avec le Festival du conte et de la légende de l’Innucadie. Vous serez charmés par sa longue plage de sable et les eaux propices à la baignade de cette baie peu profonde. 

Aux Galets de Natashquan
Au milieu du golfe du Saint-Laurent, Anticosti est la plus grande île du Québec. C’est une île sauvage et envoûtante baignée dans la lumière transparente du Nord. Vous aimerez ses falaises blanches que la mer vient caresser inlassablement, ses canyons vertigineux et le fracas des chutes puissantes. Vous y découvrirez d’immenses grottes secrètes, des cerfs de Virginie par milliers, des saumons qui ondulent dans les fosses émeraude et des phoques qui se font bronzer sur les rochers au soleil.

La Minganie est un pays de pêcheries, de gibier et de cueillette de petits fruits. Pour découvrir les saveurs locales, dès votre arrivée en Minganie, arrêtez-vous à la Marinière du Nord à Rivière au Tonnerre où vous pourrez savourer du poisson frais, des fruits de mer pêchés sur le côte et des produits à base de chicoutai.

Au Macareux dodu
À Longue-Pointe de Mingan, face à la plage, allez diner au Macareux dodu qui vous propose une escapade boréale gourmande et authentique. Goûtez à sa fine cuisine aux ingrédients typiques de la Minganie cuisinés avec créativité. À la Maison de la culture innue, à Ekuanitshit, arrêtez-vous pour goûter à la bannique, ce pain traditionnel.


Chez Julie
Du côté de Havre-Saint-Pierre, la pizza aux fruits de mer de Chez Julie est légendaire. Le resto opère depuis peu une boutique près du quai où vous pourrez faire le plein de produits du terroir. Rue Boréale, pour un casse-croûte rapide et savoureux ou un bon café, arrêtez-vous au Capayou où Denis et Danny vos accueillent.

Au Capayou

En route vers Natashquan, arrêtez-vous au Fumoir Goynish à Aguanish. Vous pourrez y déguster ou vous procurer du saumon fumé et des petits plats typiques de la région.
La Mouche microbrasserie
À Natashquan, en toute saison, le restaurant Le goût du large, situé aux abords de la petite rivière Natashquan propose une carte pour toutes les fourchettes. Au menu : des plats garnis de fruits de mer, poissons, pizzas, burgers et poutines aux saveurs étonnantes. L'été, vous ne manquerez pas de vous affaler sur la terrasse du Café de l’Échouerie, le café culturel estival qui jouit certainement d’une des plus belles terrasses de café au Québec bien plantée qu’elle est sur la plage en bord de mer au bout du chemin des Galets, un café où on échange et palabre entre les repas et les spectacles et. Partout on peut déguster les bières de la nouvelle microbrasserie locale, La Mouche. 


Établissement quatre étoiles renommé, Le Manoir de Baie-Comeau  vous offre le meilleur d’hier et d’aujourd’hui.  Au cœur du quartier historique de Baie-Comeau, 60 chambres parfaitement équipées, confort haut de gamme, restaurant raffiné, détente et santé et le majestueux estuaire du Saint-Laurent à vos pieds. Offrant le charme unique d’un vieux manoir de style colonial français, la majorité de ses chambres, ses salles de réunion, sa salle à manger, sa terrasse et ses jardins offrent une vue imprenable sur le Saint-Laurent et un accès direct à la plage.

Manoir de Baie-Comeau 1937
Construit en 1937 par Robert Rutherford McCormick, l’année même où il fonda Baie-Comeau, le prestigieux édifice a toujours offert tout ce qu’il fallait pour que le séjour des amoureux, des gens d’affaires et des gens du monde lorsqu’ils visitaient la Côte-Nord. En 1965, le Manoir fut rasé par les flammes et il faut reconstruit au même endroit, en remplaçant le bois par de la pierre. En 2004, il a subi une cure de rajeunissement. Encore plus confortable, à la fine pointe de la technologie, il répond mieux que jamais à la vision qu’en avait son créateur : un endroit calme et inspirant, où il fait bon vivre, manger, travailler et se reposer.

Le confort de votre hébergement comprend téléphone, téléviseur, appels locaux, eau en bouteille et café gratuits, fer et planche à repasser, séchoir à cheveux et salle de bain complète. Dans certaines chambres, vue sur le fleuve, bain-tourbillon, foyer, lecteur CD, DVD avec choix de musiques et de films gratuits, coffre-fort, journal et fauteuil ergonomique.

Bistro La Marée haute
Une salle à manger et deux bars, dont un avec terrasse et foyer, vous accueille et peut aussi recevoir vos invités si vous souhaitez organiser un événement. Tout comme 7 salles de réunion, parfaitement équipées et pouvant accueillir jusqu’à 450 personnes, sont à votre disposition.

Le bistro La Marée haute avec sa terrasse estivale époustouflante est opéré depuis quelques années par Carl Beaulieu, un restaurateur bien connu dans la communauté, ancien propriétaire de L’Orange bleue. Sa table d’hôte très raisonnable pour la qualité qu’elle offre, est disponible tous les jours sauf le dimanche.

Vue du Manoir de Baie-Comeau

Hôtel Le Manoir de Baie-Comeau

8, avenue Cabot

Baie-Comeau (Qc) G4Z 1L8

418.296.3391
/ 1.866.796.3391

La Côte-Nord vivra un été hors du commun. Les touristes voyagent plus tôt dans la saison, et on prévoit qu’ils seront plus nombreux et que leur séjour plus long. La saison vient à peine de commencer, mais la présence des touristes à Sept-Îles se remarque un peu partout. Plus à l’est, à la Réserve de parc national de l’Archipel-de-Mingan, le nombre de réservations des sites d’hébergement a déjà surpassé le nombre de sites loués au cours de la saison 2020. «L’avantage de cette année, c’est que les gens semblent avoir plus de temps à passer sur la Côte-Nord. Parce que quand un site n’est pas disponible, ils vont choisir la journée d’après ou le surlendemain. On voit que les gens ont une belle flexibilité. Ça aide pour nos transporteurs maritimes», a indiqué le directeur de l’unité de gestion de Mingan de Parcs Canada, Dany Lebrun. Chez Hydro-Québec, ne pensez pas visiter Manic-2 ni Manic-5 cet été. Le calendrier de réservation est complet. Les seules places disponibles pour une visite d’installations hydroélectrique sur la Côte-Nord se trouvent au complexe de la Romaine au nord de Havre-Saint-Pierre. Ce n’est pas par hasard que depuis des mois, l’industrie touristique de la région recommande aux visiteurs de bien planifier leur voyage pour éviter les mauvaises surprises.

Après avoir été contraint d’annuler son édition 2020 en raison de la pandémie, le Festival de la chanson de Tadoussac revient avec force dans une 37e édition exceptionnellement étalée sur dix jours, du 25 juin au 4 juillet, selon une formule repensée.

Une quarantaine d’artistes, dont Louis-Jean Cormier, Bleu Jeans Bleu, Les Trois Accords, Marie-Pierre Arthur, Patrick Watson, Alaclair Ensemble et Ariane Moffatt déferleront sur trois scènes intérieures et extérieures.


À ces valeurs sûres s’ajoutent plusieurs artistes émergents, dont Ariane Roy, Bon Enfant, Belle Grand Fille et Mon Doux Saigneur. Le spectacle Nikamu Mamuitun sera également présenté, accompagné pour la première fois d’une projection vidéo conçue spécialement pour le festival par des artistes autochtones.

Quelques artistes donneront même deux concerts, question de rejoindre un plus grand public. Faire passer le festival de quatre à dix jours permet d’accueillir le même nombre d’artistes qu’en temps hors pandémie, souligne le directeur général, Julien Pinardon.
« C’est la solution qu’on a trouvée, a-t-il commenté. Ça nous permet aussi d’avoir moins de public en même temps dans le village ».
Les billets seront vendus en nombre limité. Les spectacles intérieurs, dont ceux à l’église du village, pourront accueillir de 140 à 170 festivaliers en distanciation, tandis qu’à l’extérieur, de 50 à 80 personnes pourront se réunir devant une scène.

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