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Archive du blog pour février 2024

Il était une fois un grand restaurant chic qui avait le goût de se doter d’un petit frère décontracté et sans prétention. C’est ainsi qu’est né le Conti, autour de 2005, dans le local voisin du Continental, rue Saint-Louis dans le Vieux-Québec.


Lorsque Mathieu Pettigrew et ses associés de l’époque en ont pris possession en 2010, ils ont vite compris que le bistro Italien allait occuper un créneau complémentaire à son grand frère. La chaleur de son décor urbain aux milles éclats et les délices de sa table Italienne très tendance, dans une ambiance feutrée, urbaine et inclusive à souhait, invitent à découvrir saveurs et couleurs de l’Italie d’aujourd’hui.

Le Conti Caffe
Le directeur du Conti, Alex Boyer, fait en sorte que la clientèle qui s’y présente, pour le repas du midi ou celui du soir, ou pour un cocktail de fin de journée, ressente l’esprit complice de l’endroit pour des moments de détente et de plaisir.

 
Mathieu Pettigrew a voulu en faire un endroit de qualité, décontracté, pour qui ne souhaite pas s’asseoir pendant deux heures pour un repas, mais s’attend tout de même à recevoir toute l’attention qu’on retrouve généralement aux bonnes adresses du secteur. L’été, l’endroit baigne dans la lumière avec ses fenêtres ouvertes sur la rue sur deux façades, donnant l’impression d’une terrasse. Mais toute l’année, on apprécie ses murs de briques anciens qui créent une chaude atmosphère ainsi que son éclairage qui favorise les beaux échanges.

Le Conti Caffe
Sa cave à vins impressionne par sa grande sélection de crus composés principalement de vins français, italiens et américains. Elle offre un choix de cinq mille bouteilles dans plus de quatre cents variétés, des plus abordables au plus grands crus classés.


Les habitants du quartier et les voyageurs apprécient cette adresse à deux pas du Château Frontenac. La touche italienne commence dans le nom de l'établissement et continue sur la carte. Le Conti revisite les grands classiques : risotto, pennes et linguines arrosées de sauces goûteuses. Pour un repas plus sophistiqué, on opte pour le veau, l'osso buco, le filet de saumon ou le filet mignon de bœuf. Le plat d'antipasti accompagnera parfaitement un bon verre de vin lors d'un « happy hour ».

Le Conti Caffe Le Conti Caffe
Bref, en s’attablant au Conti Caffe, on s’assure d’un accueil chaleureux, du souci du détail et d’un service attentionné, sans parler des mets uniques de tendance italienne, en rappel de ceux qui ont créé l’ancêtre de ce restaurant, les frères Angelo et Luigi Sgobba.


Ouvert 7 jours sur 7, le midi et le soir. On réserve ou on commande en ligne.

Conti Caffe
conticaffe.com
32, rue Saint-Louis
Québec (QC) G1R 3Y9
(418) 692-4191

Les connaisseurs savent que Cantharellus cibarius, en français girolle ou Chanterelle commune, est une espèce de champignons basidiomycètes de la famille des Cantharellaceae. Ce champignon, très commun dans tout l'hémisphère nord, est un excellent comestible de son espèce, parmi les plus connus et les plus recherchés.

Par analogie, on pourrait affirmer qu’il en est de même pour le restaurant français « apportez votre vin » La Girolle du quartier Saint-Sacrement, à Québec, bien connu et recherché depuis 23 ans. Propriété du chef David Grenier (photo) depuis 2018, l’endroit a conservé l’esprit et les valeurs de ses créateurs tout en misant sur une évolution naturelle de son menu au fil des années et des saisons.

La Girolle

Mentionnons quelques exemples des fameux plats qu’on peut y déguster. En entrée : Assiette charcutière Deluxe, Feuilleté d'escargots sauce fromagère, Les saveur de L'ile d'Orléans, Carpaccio de bison, émulsion a la truffe. On apprécie particulièrement comme plat principal : Risotto de pétoncles et crevettes, Longe d'agneau grillée, sauce à l'espagnole, Magret de canard, porto et amélanchier, Ris de veau braisés à la forestière, Terre et mer / Boudin noir aux épices, Cerf en croûte de champignon, sauce périgourdine, Pavé de saumon, salsa à la mangue, Filet mignon de boeuf à la façon du chef, Mignon de porc, fondant de cheddar et balasamique.

La Girolle La Girolle

Tout ça parce que David Grenier, avant de l’acquérir, y a été actif de plongeur à cuisinier, en passant par les diverses tâches de la cuisine, dès l’âge de 18 ans. Même s’il a fréquenté l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec (ITHQ), où il a obtenu un prestigieux diplôme en restauration, il a aussi le mérite d’avoir été engagé dans des établissements renommés lors de voyages en Australie et ailleurs sur la planète pendant quelques années, où il a pu raffiner et développer ses talents culinaires.

Avec les propriétaires précédents de La Girolle, il a cultivé l’art de la table sur la base de mets et de plats qui font encore la renommée de l’endroit et attirent toujours une clientèle fidèle, en plus d’en avoir développé une toute nouvelle. Depuis que David en a pris la direction, pas de changements majeurs à l’endroit : on a fait disparaître le tapis du sol et procédé à quelques rénovations mineures. Sa motivation à poursuivre réside dans sa volonté de maintenir une constance dans la qualité de la table, toujours en fonction du marché, donc des produits disponibles et abordables selon les saisons et les fluctuations des arrivages.

La Girolle 

En plus du menu régulier présenté sur de grandes ardoises sur roulettes et qui évolue au gré des saisons, on peut commander en permanence des plats surgelés pour emporter, offrant des repas et des mets totalement différents que ceux de la carte régulière et complémentaires à l’offre en salle à manger. Un produit qui, même après la pandémie de 2000-2001, continue à obtenir un bon succès. On offre aussi quelques plats à emporter et à réchauffer (soupes, salades, charcuteries, ris de veau, boudin noir, mignon de porc, par exemple).

La Girolle

Disons-le : l’endroit demeure encore l’un des rares restaurants « apportez votre vin » (ou votre bière) qui subsiste dans cette catégorie d’établissements à Québec. Et cela n’est pas près de changer, assure David Grenier. Parce que la formule est grandement appréciée six soirs et trois midis chaque semaine, des mois d’août à juin. La localisation en dehors des quartiers touristiques permet de s’offrir des vacances pour toute l’équipe de quelque 25 employés.es pendant le mois de juillet.

La Girolle

La Girolle peut accueillir jusqu’à 140 convives en soirée, du mardi au dimanche, pour occuper les 106 places assises réparties dans deux sections distinctes. Il est toujours préférable de réserver, surtout du vendredi au dimanche Les travailleurs et résidents du quartier viennent y prendre le lunch du mercredi au vendredi.

Pour les amateurs d’histoire, l’établissement Les Prés s’était établi à cet endroit dès 1990. Le restaurant La Girolle opère à cette adresse depuis 2000.

La Girolle

Restaurant La Girolle
lagirolle.ca
1384, Chemin Sainte-Foy
Québec, QC, G1S 2N6
(418) 527-4141

Serge Bruyère

A native of Lyon in France, Serge Bruyère fell in love with the city of Québec from his very first visit in 1976. He immigrated to its province during the Montréal Olympic Games, working at the Queen Elizabeth Hotel before moving to Québec city. Prior to leaving his native country, he had undergone his training in the kitchens of l’Auberge du Tunnel in Auvergne with Paul Bocuse and the Troisgros brothers. He first worked at the Hilton before becoming executive chef at the Éperlan restaurant. One year later, he founded the Marie-Clarisse restaurant near the Breakneck Stairs (l’Escalier Casse-cou) with another partner. In 1980, he undertook a new adventure at the Maison Livernois on Saint-Jean Street, this time on his own: Serge Bruyère’s restaurant À La Table was created. He was among the very first chefs to work closely with local craftsmen in order to obtain high quality products for his menu. Serge Bruyère died prematurely in 1994 at the age of 33. His heritage is considered enormous: he introduced an updated version of haute cuisine, laying the foundations of a gastronomy concerned with great quality and based on a relationship of proximity with his suppliers. Throughout the 14 years of existence of À La Table, Bruyère devoted time and energy in training dozens of competent chefs like Daniel Vézina, Jean Soulard and Marie-Chantale Lepage, who to this day remain inspired by his culinary philosophy.

His passion for gastronomy as well as his devotion to the recognition of the trade were immense. He knew how to transmit his enthusiasm and the importance of working with precision, and also to respect clients and producers. Bruyère is one of only two Québec chefs to be included in the Larousse gastronomique lexicon, and was the first to introduce new cuisine to the city.

He was a humble, sympathetic and respected chef. His passion for quality produce and his unfailing technique and hard work, along with the sharing of his knowledge were of utmost importance to him. The Fondation Serge Bruyère, which is dedicated to the encouragement of Québec’s new culinary talent, serves to perpetuate his legacy.

Aucun établissement, quel qu’il soit, ne peut vivre 85 ans sans permettre à sa clientèle d’en sentir les effluves historiques et traditionnelles. Binerie Mont-Royal
Surtout quand on s’appelle La Binerie Mont-Royal.


Même si cet incontournable et symbolique lieu de la cuisine traditionnelle québécoise a déménagé ses pénates en 2019 dans un local plus vaste et mieux en mesure de satisfaire l’accueil de la clientèle toujours grandissante, à quelques enjambées du site original, on ressent l’importance que ses propriétaires depuis 2005, Jocelyne Gingras et Philippe Brunet, accordent à cet aspect de leur commerce légendaire.
D’autant plus que lorsqu’ils en sont devenus propriétaires, tous deux approchaient l’âge de la retraite habituellement reconnue comme telle. Aujourd’hui, ils sont loin d’envisager cette éventualité, même après l’avoir maintenant largement dépassé. « On a passé tout droit », dit à la blague Jocelyne, elle qui a œuvré pendant une grande partie de sa vie comme comptable, sa profession première. Elle l’a fait pendant un certain temps dans le monde de l’hôtellerie et de la restauration, ici et ailleurs.
Tout ça parce que Philippe, lui, a la restauration et l’hôtellerie dans le sang. Il a occupé longtemps des postes importants dans le monde de la restauration en hôtellerie, à la chaîne Hilton (dont celui de Québec), puis chez Disney à Orlanda en Floride, avant de revenir au Québec et s’engager dans l’acquisition de la Binerie.
Fondée en 1938, par Léonide Lussier, et établie sur la célèbre avenue du même nom durant 81 ans, La Binerie Mont-Royal met en valeur la cuisine traditionnelle québécoise dans sa plus pure expression. Rôti de porc, ragoût, bacon, cretons, poutine, pâté chinois... et pas moins de 32 tonnes de fèves au lard y sont préparées par année.

Binerie Mont-Royal
Qu’est-ce qui a changé depuis le déménagement ? Mis à part le décor, quoique on en a récupéré un bon lot, on peut servir maintenant 95 personnes à la fois, au lieu des 23 auparavant. Côté menu, on avait déjà commencé à ajouter des items au fil des ans depuis 2005. On a conservé toutefois la recette gagnante qui faisait le succès de l’endroit. « Les clients ont suivi en grande majorité et c’est sûr que les fèves au lard continuent à être en vedette », assure Jocelyne qui passe encore de nombreuses heures aux fourneaux pour la préparation des repas et à son four à pâtisserie pour y produire ses pâtés et autres délices qu’on peut acheter pour emporter.

Binerie Mont-Royal
Fait à signaler, il n’y a aucune friture dans les cuisines. Tout est cuit au four. On a d’ailleurs reconstruit au sous-sol le légendaire four à fèves au lard de la rue Mont-Royal. C’est Philippe qui est en charge de préparer la recette et de les cuire chaque jour.
Si on leur demande quelle période de l’année est la plus occupée, on se surprend d’apprendre que c’est la période précédant Noël, en décembre. Parce que leurs produits pour le Réveillon québécois traditionnel sont devenus de plus en plus populaires. Soupe aux pois, ragoût de boulettes, tourtière, purée de pommes de terre, légumes saisonniers, fèves au lard, etc. Ils sont préparés en format individuel et on peut les commander selon la quantité désirée. Plusieurs autres produits sont offerts, comme le pâté chinois, le pain de viande, le ragoût de pattes et boulettes, rôti de porc, jambon à l’érable, bœuf aux légumes, etc. Plusieurs variétés de tartes (pommes, raisins, sucre) et de pâtés (saumon, poulet, viande, tourtière) sont aussi disponibles pour compléter ces repas.
Et comme il faut être de son temps, ils ont ajouté quatre types de poutine au menu, avec des frites cuites au four.
Finalement, ne cherchez pas devant l’immeuble l’immense enseigne verticale qui trônait en facade sur la rue Mont-Royal. Elle ne pouvait être installée rue Saint-Denis. On l’a donc accrochée dans la cage d’escalier vers la mezzanine où elle fait sensation. Comme tout le reste d’ailleurs. Les comptoirs avec banquettes jonchées de petites lampes style Tiffany sont charmants et incitent aux échanges, ce qui est une préoccupation de toujours de Jocelyne et Philippe.

Binerie Mont-Royal
Il y a fort à parier qu’on en parlera encore dans 80 ans.
La cuisine ferme à 14h en début de semaine, mais se poursuit jusqu’à 21h le week end.

La Binerie Mont-Royal
labineriemontroyal.com/
4167, rue Saint-Denis,
Montréal, Québec H2W 2M7
(514) 285-9078

C’est en 1983, alors qu’il vivait en Floride avec son compagnon, que l’idée de Physotech est née, explique Réal Veilleux, devenu propriétaire unique de l’entreprise de soins pour hommes gais en 2022.

 
Tous deux fréquentaient un centre qui offrait des services d’électrostimulation musculaire à Miami. Après avoir discuté avec le propriétaire des lieux, ils ont alors eu une révélation, et dès leur retour à Montréal ils ont entrepris les démarches pour installer un centre du genre dans le Village. Physotech est née en septembre 1983.

PHYSOTECH, 40 ans
Ils ont ensuite commencé à ajouter de nouveaux services à leur offre et sont rapidement devenus le seul salon pour hommes à offrir un service complet à Montréal. « Nous voulions créer un environnement pour les hommes qui veulent soigner leur apparence et où ils se sentiraient à l’aise », dit Réal. Physotech est un centre de santé, de bien-être et d’esthétique qui s’adresse principalement à une clientèle masculine gaie depuis maintenant quelques décennies.

 
L’électrostimulation (manscaping) demeure l’un des services les plus populaires de Physotech, pour tonifier les muscles sans sessions d’entraînement éprouvantes. L’électrostimulation est aussi une méthode de choix pour ceux qui ne peuvent pas s’entraîner à cause d’une blessure. En une session de 30 minutes, cette machine, sophistiquée mais délicate, reproduit le signal émis par le cerveau à destination des muscles sous la forme d’un faible courant électrique, ce qui amène le muscle à se contracter. « Trente minutes d’électrostimulation équivalent à deux heures d’entraînement intensif traditionnel », explique Réal Veilleux.

 PHYSOTECH, 40 ans
Plus récemment, au milieu des années 2010, l’électrostimulation est passée en mode « ultra » avec des entraînements XBody, la combinaison parfaite de l’EMS et d’un entraînement en seulement 20 minutes. « C’est la nouvelle vague en fitness : l’électrostimulation en mouvement plutôt qu’au repos », selon lui, et Physotech est résolument devenu le spécialiste du Manscaping.

 
Avec les années, la clientèle a changé et les besoins se sont raffinés. Les plus jeunes sont désormais davantage friands de l’épilation que de l’électrostimulation. « Les semaines précédant les grands événements de la Fierté ou les gros partys gays durant l’année, on assiste à une demande assez importante de nos services », affirme le propriétaire. Encore aujourd’hui, la culture du sport et du bien paraître persiste chez plusieurs hommes de tous âges », ajoute-t-il.

PHYSOTECH, 40 ans  PHYSOTECH, 40 ans
Cette année marque donc le 40e anniversaire de l’entreprise qui a maintenant pignon sur rue pas très loin des adresses précédentes, autour de la rue Atateken (autrefois Amherst). Si l’adresse est sur le boul. René-Lévesque, le local loge au rez-de-chaussée d’une tour à condo récente et offre une vue de la section barbier par une large baie vitrée qui occupe le coin de la rue Atateken.


Le propriétaire de Physotech se réjouit de ce déménagement en 2018. Les locaux sont mieux adaptés aux divers services et correspondent davantage au type de clientèle qu’on y accueille. La localisation au cœur de projets immobiliers importants et de projets de développement majeurs en cours contribue au maintien de l’intérêt et à l’attrait de Physotech. « On a su insuffler aux hommes gais montréalais l’art de prendre soin de leur corps depuis 40 ans et cela nous rend fiers », conclut Réal Veilleux.

 PHYSOTECH, 40 ans
Les services sont offerts par une équipe de cinq experts qui sont formés régulièrement pour être toujours à la fine pointe de la connaissance de leurs diverses disciplines. L’électrostimulation, l’épilation laser, le bronzage, la massothérapie et les services de barbier-coiffure sont l’objet d’une optimisation permanente.


Physotech est ouvert cinq jours par semaine (fermé les dimanche et lundi). On prend rendez-vous autant que possible.

PHYSOTECH
physotech.com
1070, Boul. René-Lévesque Est
Montréal (Qc) H2L 0E1
514 527.7587

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Le hall de la réception au 7e étage du nouvel hôtel Le Capitole baigne dans la vive lumière matinale alors qu’on s’apprête à rencontrer la responsable des communications et marketing de l’établissement, qui occupe en partie un immeuble plus que centenaire, celui du Théâtre Capitole. Il a été classé monument historique en 1984 et a été désigné Lieu historique national du Canada en 1986. De plus, en 1985, l’arrondissement historique du Vieux-Québec où se trouve Le Capitole fut inscrit sur la prestigieuse liste du patrimoine mondial établie par l’UNESCO.

Le Capitole
Mais depuis 2019, un groupe d’investisseurs dirigé par l’homme d’affaires Jacques Tanguay, a entrepris de transformer le petit hôtel boutique de 40 chambres pour en faire « un complexe hôtelier sans précédent au coeur du Vieux-Québec où prestige, confort et divertissement se côtoient dans le but d’offrir la meilleure expérience touristique haut de gamme de la région », explique Anne-Marie Noreau.

Le Capitole Le Capitole

En effet, les travaux réalisés selon le concept inspiré des arts de la scène s’articule autour de l’architecture habilement intégrée à son environnement historique et trace un lien contemporain entre le passé et le futur. Érigé au nord du bâtiment d’origine, le nouveau complexe hôtelier de 9 étages comprend maintenant 108 chambres, suites et penthouses 5 étoiles avec une vue imprenable sur le Vieux-Québec et les Laurentides et compte de nouvelles commodités d’exception.

Le Capitole 

Les deux parties distinctes du complexe sont reliées entre elles par la Passerelle, une longue structure vitrée qui sert également de galerie d’art pour présenter les œuvres d’artistes locaux. Parmi les services offerts, on compte une piscine intérieure parée de verre et donnant accès à une terrasse au 9e étage, en plus d’une autre terrasse sur le toit surplombant le Carré des spectacles. On y trouve aussi une salle de gym toute équipée au 1er étage. Le réputé service de chasseur/voiturier/portier est offert 24 heures par jour.

Le Capitole

Ceux qui connaissent l’endroit et qui fréquentent le théâtre voisin connaissent le fameux Ristaurante Il Teatro du Capitole avec ses 150 places sur deux étages, en plus de sa terrasse à l’avant sur Place d’Youville. Un deuxième restaurant, le BŌ Cuisine d’Asie, dans l’édifice voisin, marie les cultures asiatique et québécoise et compte 98 places, dont 20 autour du bar/cuisine ouverte et 40 en terrasse. Côté événementiel, notons la bonification des espaces avec l’ajout d’un bar hôtelier, de nouvelles salles de réunions, des salons privés revampés et du Confessionnal, une salle de réception multifonctionnelle pouvant accueillir jusqu’à 250 personnes.

Le Capitole

Pour sa part, le Clubby bar, situé directement à l’étage inférieur de la réception, au pied d’un escalier en colimaçon, offre cocktails et champagne dans un décor chic et un environnement feutré, autour d’un grand bar et donnant accès à une autre longue terrasse extérieure.

Le Capitole

Si le Théâtre et l’Hôtel Le Capitole constituent maintenant des entités indépendantes, il n’en demeure pas moins qu’on y offre des forfaits hébergement, repas et spectacle qui ajoutent au confort et à la renommée de cet endroit dont la notoriété est déjà bien établie.

Anne-Marie Noreau, qui est à l’emploi du Capitole depuis plus de 10 ans, précise que la localisation du complexe hôtelier joue un rôle important dans son succès. Il faut voir le spectacle de la ville qui est omniprésent tout autour et offre une vue impressionnante dans les chambres et les suites, entre autres.

Le Capitole

Pour les propriétaires de l’endroit, avec son nouvel hôtel, son théâtre rénové, son réputé Ristorante Il Teatro, maintenant sur deux étages, sa toute nouvelle offre gastronomique du BŌ Cuisine d’Asie et ses forfaits diversifiés, Le Capitole Hôtel est dorénavant la référence touristique, d’agrément et d’affaires haut de gamme à Québec.

Plus de 250 personnes y trouvent un emploi. La clientèle est québécoise à 50 %. Les États-Unis et le reste du Canada constituent une partie importante de l’achalandage annuel, avec les Européens qui ferment la marche.

Hôtel Le Capitole
lecapitole.com
972, rue Saint-Jean
Québec, QC G1R 1R5
800-363-4040

Manif Truxx

Site de l’émergence du premier ‘Village gai’ de Montréal autour de la rue Stanley, c’est dans ce quartier que se produisirent les évènements qui, en 1977 et 1990, furent qualifiés de Stonewall montréalais, dans les deux cas résultant de descentes policières dans des lieux de rencontre GLBT.

Le 22 octobre 1977, après une descente dans un bar gai de la rue Stanley, le Truxx, accusé de tenir une ‘maison de débauche, où plus de 140 hommes gais furent brutalement arrêtés, une manifestation de nuit organisée à l’initiative de l’Association pour la défense des droits des gai(e)s rassembla 2,000 hommes gais en colère au coin de Stanley et Sainte-Catherine. Dans les années 1970, les descentes dans les bars gais s’étaient multipliées à Montréal pour « nettoyer » la ville à l'approche des Jeux olympiques de 1976 et ces pratiques avaient continué après la tenue des Jeux. Cette nouvelle descente abusive incitera le gouvernement du Québec alors dirigé par le Parti Québécois de René Lévesque de donner suite à sa promesse électorale de 1976 en ajoutant le 15 décembre 1977 l’orientation sexuelle aux motifs interdits de discrimination dans la Charte québécoise des droits, une première dans les Amériques.

En juillet 1990, c’est aussi suite à une descente cette fois dans un party privé, le Sex Garage, organisé dans un immense loft d’un édifice industriel rue de la Gauchetière, en invoquant le bruit qu’un groupe de policiers de la Communauté urbaine de Montréal décida le 14 juillet 1990 d’y faire une descente après avoir enlevé leurs insignes. Les quelque 400 participants furent alors forcés de quitter les lieux, puis attaqués par la police quand certains d’entre eux tentèrent de revenir récupérer leurs effets personnels.

Le 16 juillet, après la promesse de rencontre non tenue du chef de police, plusieurs centaines de personnes se présentèrent au poste de police au coin des rues De Maisonneuve et Saint-Mathieu pour un kiss-in pacifique. Alors que les manifestants étaient tous assis par terre, des rangées de policiers se présentèrent devant les manifestants pour charger la foule et la forcer à circuler.

La brutalité de la répression incitera plusieurs participants à s’engager dans la lutte contre la violence envers les gais et lesbiennes ce qui mènera en 1992 à la mise sur pied de la Table de concertation des lesbiennes et gais du Grand Montréal qui obtiendra en 1993 la tenue d’audiences publiques de la Commission des droits de la personne du Québec sur la violence et la discrimination envers les gais et lesbiennes. Le rapport de la Commission en 1994 De l’illégalité et à l’égalité marquera un nouveau jalon dans l’avancement des droits LGBT au Québec en ouvrant la voie à la reconnaissance des couples de même sexe notamment. Plusieurs s’impliqueront aussi dans la mise sur pied de Divers/Cité qui organisera et fera rapidement grandir le défilé de la fierté LGBT à Montréal de 1993 à 2008.

Un beau samedi soir de juin. Jour de la Fête nationale du Québec. Le soleil brille encore et descend lentement vers l’horizon. La journée fut parfaite pour nous faire apprécier ce début d’été. La rue Prince-Arthur est plus belle et accueillante que jamais avec sa végétation mature en milieu de rue piétonne qui crée une intimité particulière sur les terrasses.

Deux Gamins
Le Café Bistro Les Deux Gamins trône bien confortablement depuis fort longtemps sur cette rue mythique de Montréal, à quelques enjambées du non moins historique Carré Saint-Louis. Sa réputation dépasse largement les frontières. L’animation nocturne des établissements environnants au cours des années 70 et 80, entre autres, y a attiré une faune bigarrée avide de nouveauté.
On y propose une cuisine française classique délicieuse, avec une touche de modernité, dans un décor qui rappelle les authentiques bistros parisiens. La salle à manger intérieure sur deux paliers avec ses 90 places crée des espaces qui permettent l’intimité d’un couple autant que les festivités de groupes. Mais l’été, c’est au centre de la rue face au resto que la terrasse d’une quarantaine de places accueille les clients :
Déjà en 2009, un critique du journal La Presse écrivait : « Et d'un coup, la magie opère. Ah! quand la cuisine française est surprenante, qu'elle cause une émotion, un petit éclair, c'est comme un lever de rideau. Les plats sont tous bien ficelés, odorants, beaux à voir et à sentir. Quand ils arrivent, les uns après les autres, ils laissent dans leur sillage une vapeur aromatique d'herbes, de sauce au vin concentré ou de champignons, qui font sourire. Avant même d'avaler, nous sommes déjà ravis, c'est dire. »

Deux Gamins
Par exemple, les Croquettes de fromage brie en entrée (prunes grillées, oignons verts, noix caramélisées et vinaigrette à la framboise) ont vite conquis nos papilles. Pour sa part, la côtelette d’agneau servie sur purée de pomme de terre, chimichurri et légumes grillés, est venue compléter ce repas estival d’excellente manière. Il nous fut servi à l’arrivée un des kirs les plus authentiques qui soit.
Le personnel attentionné et souriant a rendu cette expérience des plus agréables. Une conversation avec les convives voisins a même permis de partager de beaux moments sur la beauté de notre Québec en ce début de vacances post-COVID.
En 2023, après des célébrations du Nouvel An délectables, l’établissement a fait relâche et est de retour depuis le 14 février, alors qu’un menu spécial a été concocté pour célébrer à la fois cette réouverture et la célébration de l’Amour. La nouvelle copropriétaire depuis février 2022, Anne Poirier-Parent, avec le chef Benoît Layrisse, aux fourneaux depuis huit ans, explique qu’après avoir été gérante de l’endroit pendant cinq ans, elle a été motivée de s’engager lorsque l’autre propriétaire précédent a décidé de quitter. Pour elle, les deux Gamins c’est un endroit unique en son genre à Montréal, où règne un fort esprit de famille.

Deux Gamins
Au cours du printemps, la direction offrira encore et toujours un menu table d’hôtes de trois choix qui varie chaque semaine, mais qui mise sur les influences du chef : le beurre, la générosité et la cuisine fraîcheur avec le plus possible des produits locaux. Une touche de modernité au menu de cuisine française classique rendra l’expérience encore plus savoureuse. Et le bar offre toujours des cocktails originaux et une carte des vins abordables, prisés de la clientèle qui elle, demeure fidèle et apprécie l’ambiance européenne qui se poursuit, l’accueil chaleureux, le rendez-vous des amis, et plus encore.
Enfin, les Deux Gamins, qui sont-ils vraiment ? He bien c’est le surnom que les fondateurs avaient donné à leurs deux chiens.

Café Bistro Les Deux Gamins
lesdeuxgaminsmontreal.com
170, rue Prince-Arthur E.
Montréal, Qc, H2X 1B7
514.288.3389

2014, la Fierté mondiale à Toronto (World Gay Pride). C’est là que l’aventure The Men’s Room, l’entreprise mère d’Armada telle qu’on la connaît aujourd’hui à Montréal, a débuté dans l’esprit de Francis Gaudreault et de son partenaire d’affaire, Steve Palmer.


The Men’s Room, c’est une entreprise à trois branches : Toronto (2014), Chicago (2016) et Montréal (2016). Trois boutiques ayant beaucoup de similitudes, mais avec chacune leur identité qui reflète la culture du milieu. Un projet qui a évolué rapidement et qui a nécessité beaucoup de travail et d’efforts de la part de ses instigateurs.


On ne peut pas parler de The Men’s Room et d’Armada sans mentionner le rôle de Francis Gaudreault dans son histoire. Né en 1984 en Alberta, dans une famille dont les deux parents sont membres des Forces armées canadiennes, ayant vécu en Allemagne, en Ontario, puis en Nouvelle-Écosse, il quitte le foyer familial dès ses 17 ans, à la fin de ses études secondaires, pour s’établir en Ontario. Après un retour aux études supérieures de quelques années, il s’en va vivre à Toronto en 2008, à 24 ans. Il travaille alors dans divers établissements du milieu gay.


Dès 2010, avec ses partenaires, il crée Pitbull Events pour l’organisation de soirées thématiques avec djs pour les membres de la communauté LGBT. Au départ plutôt modestes, ces soirées deviennent rapidement populaires, surtout avec la tenue de la Fierté Mondiale en 2014, alors que des milliers de personnes y prennent part.


C’est à la suite de leur grand succès qu’il est convenu de réinvestir les profits de ces événements dans la création de la première boutique The Men’s Room à Toronto, en 2014. En plus des vêtements et articles fétichistes, on y accueille un salon de barbier et un atelier de cuir. Peu de temps après, un investisseur de Chicago, aux États-Unis, propose une association pour y ouvrir une boutique du même genre, ce qui est fait en 2016. La même année, on apprend que le propriétaire de la boutique Fétiche Armada de Montréal, créée en 2011, souhaite vendre son commerce. En quelques heures, la proposition de Francis et de son partenaire dans The Men’s Room, Steve Palmer, est acceptée. Armada par The Men’s Room est ainsi créée, dans le même local, puis déménagera dans les locaux actuels au cœur du Village en 2018. La dimension du local de Montréal ne permet pas d’y accueillir un salon de barbier (surtout qu’il y en a alors deux importants à proximité), mais un atelier de cuir y opère depuis pour la production des items offerts à la clientèle de la boutique.

Armada
Francis avoue que comme pour une majorité d’entreprises commerciales, la pandémie de COVID a constitué une période difficile, qui a obligé ses dirigeants à faire preuve d’originalité et à sortir des sentiers battus (think outside of the box) pour éviter la catastrophe. Les consignes et les contraintes différaient d’un endroit à l’autre et il a fallu en tenir compte et gérer la crise de manière intelligente.


Aujourd’hui encore, Armada Par The Men's Room est reconnu comme un guichet unique incontournable pour tous les besoins en matière de fétichisme et de vêtements originaux appréciés par les hommes gais, mais pas seulement eux. Des experts en « kink » parfaitement informés et bilingues sont toujours à la disposition pour aider à explorer de nouveaux intérêts passionnants. Spécialisé dans les vêtements de sport, le néoprène, le cuir et l'équipement de bondage, Armada est « l'endroit idéal pour explorer son côté sauvage », explique-t-on sur la page Web. On peut également personnaliser n'importe quelle pièce en cuir en magasin, pour en faire le meilleur équipement possible souhaité par chacun.

Armada
Francis est fier de pouvoir compter sur une équipe d’une dizaine de gens sur qui il peut compter sans réserve à la boutique de Montréal. Il considère que cela représente un atout majeur pour le succès des affaires et les bonnes relations avec les clients. Au total, The Men’s Room emploie entre 35 et 40 personnes dans ses trois boutiques.

Armada offre aussi en vente les billets pour certains des plus importants événements LGBTQ de Montréal, tels que Fierté Montréal, le festival Black and Blue (dont PittBull Events est maintenant partenaire), et d’autres aussi. À Montréal, comme si ça ne suffisait pas, Francis Gaudreault est engagé personnellement auprès d’organismes communautaires du milieu, notamment la Maison Plein Cœur qui soutient les personnes vivant avec le VIH, avec des levées de fonds et des contributions spéciales. Au cours des dernières années, il s’est impliqué au conseil d’administration de la Société de développement commercial (SDC) du Village, dont il est devenu le président du conseil en avril 2023. Mentionnons qu’il avait aussi présidé la corporation du Village à Toronto pendant deux ans, à partir de 2016.

Ce qui est certain, c’est que l’attachement de Francis pour Montréal est de plus en plus grand. À preuve, lui et son conjoint (qui n’est pas du tout impliqué dans l’entreprise) ont entrepris une démarche pour acquérir une propriété pour venir s’y établir en permanence. Actuellement, Francis passe 50% de son temps à Montréal, le reste à Toronto.

Armada

Si aucun projet majeur de développement n’est sur la table pour le moment pour les boutiques, Francis Gaudreault n’exclut pas éventuellement d’exploiter à Montréal un autre type de commerce en lien avec sa clientèle, comme un bar ou un lieu de divertissement, ce qui reste à être précisé. En ce qui concerne Pitbull Events, en plus des soirées populaires à divers moments de l’année, l’organisation de croisières gaies dans les Caraïbes s’est ajoutée pendant quelques années. On remplacera bientôt ces croisières par des événements au soleil dans un site populaire de Cuba, par exemple.

Chose certaine, son accession récente à la présidence de la SDC du Village va certainement l’occuper pas mal au cours des prochaines années. Car il a promis d’y agir énergiquement pour lui redonner tout l’amour dont ce milieu a grandement besoin.

Armada
ARMADA Par The Men’s Room
shopthemensroom.com
1359, rue Ste-Catherine Est, Montréal, QC
514 419-1089

Ils ne sont pas parmi les plus flamboyants vus de l’extérieur puisqu’ils sont localisés un peu en retrait de l’activité commerciale et touristique du secteur, à l’entrée du Village. C’est lorsqu’on franchit leurs portes et qu’on accède à leurs chambres, suites et services qu’on en apprécie toutes les particularités.

Labelle Roberval
C’est à la famille Charron, des entrepreneurs et investisseurs dans le monde de l’immobilier depuis plus de 40 ans à Montréal, qu’on doit la « renaissance » de ces deux établissements. Ce sont aujourd’hui les enfants du fondateur qui les dirigent.
La principale qualité de ces hôtels, c’est la localisation : à quelques pas du Quartier Latin, du Vieux-Montréal, à l’entrée du Village et de ses restaurants et bars, à quelques centaines de mètres de la station Berri-Uqam où passent trois lignes de métro, et tout à côté du campus de l’UQÀM et du complexe hospitalier du CHUM et de son centre de recherches. Le merveilleux Quartier des spectacles peut être rejoint en moins de 10 minutes de marche.

Labelle Roberval
Le Roberval, coin René-Lévesque et Berri, est constitué de deux bâtiments connexes qui datent des années 1920. La famille l’a acquis à la fin des années 1990. Les suites Labelle, sur la courte rue du même nom, est de construction plus récente. Il est la propriété des Charron depuis le début des années 2000, explique la directrice des ventes et du marketing, Charlene Richard.
Chacun des deux hôtels propose des spécificités uniques pour plaire à diverses clientèles. Le Roberval a subi des rénovations importantes : en 2019 on y a refait les planchers, on a changé la literie, refait des comptoirs de cuisines et des salles de bains. On y compte 75 chambres et suites, dont : 26 studios 1 lit Queen, 11 studios à 2 lits Queen, 15 suites une chambre plus sofa-lit, 17 suites une chambre plus lit mural, 6 suites deux chambres (dont 2 au sous-sol). Il propose un confort exceptionnel, une ambiance familiale peu importe la durée du séjour. Les travailleurs, étudiants ou chercheurs venus à Montréal pour de courtes ou longues périodes y trouvent un lieu de résidence temporaire des plus appréciés.

Labelle Roberval
Pour sa part, l’hôtel Labelle tout à côté a subi des rénovations importantes de ses planchers, on y a changé la literie et les rideaux et de nouveaux matelas ont été installés dans les chambres de 4 des 8 étages, en 2022 et 2023. On poursuivra au cours des prochains mois pour le reste du bâtiment. Il propose 97 chambres, dont 84 studios standards à 1 ou 2 lits Queen, 10 studios supérieurs à 1 ou 2 lits Queen, 2 suites junior et 1 suite exécutive. Cet hôtel accueille régulièrement des clients de tours opérateurs.

Labelle Roberval
Dans les deux établissements, les chambres et suites sont équipées de plusieurs commodités, dont une kitchenette, un réfrigérateur, un micro-ondes, la climatisation, le wifi gratuit et une foule d’autres accessoires. Des salles à petit déjeuner (inclus dans le séjour) vastes et accueillantes sont accessibles dans les deux hôtels. Enfin, les clients peuvent profiter de stationnements intérieurs.
Bien entendu, le personnel attentionné est formé pour respecter les principes d’inclusion et diversité pour toute la clientèle qui choisit d’y séjourner. Les gens de la communauté LGBTQ sont ainsi assurés d’y trouver respect et sécurité.
Enfin, la famille Charron, sensible au besoin de s’impliquer dans la communauté, accueille depuis plusieurs années des travailleurs et travailleuses immigrants de l’Ukraine. Ces immigrants légaux sont actuellement une quarantaine à y trouver un emploi et ce, à la satisfaction de la direction qui est fière de sa contribution à l’intégration de ces nouveaux arrivants.

Hôtel et Suites Labelle
hotellabelle.com
120, rue Labelle
Montréal, QC H2L 4C1
514 840-1151

Hôtel Le Roberval
leroberval.com
505, Bd. René-Lévesque Est
Montréal, QC H2L 5B6
514 286 2992

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